"Le frais d’entrée de 100$ et pourquoi ce n’est en fait pas un problème"
Citation:
Je rappelle encore une fois que Valve est une compagnie qui veut gagner de l’argent au travers de Steam et que Greenlight est un concours de popularité. Sachant cela, comment comptez vous gagner à un concours de popularité ou être suffisamment rentable pour Steam si votre jeux n’est pas assez bon pour vous rapporter 100$ par lui-même ? Il ne sert tout simplement à rien d’être sur Greenlight (ou plus exactement de vouloir être publié sur Steam) si votre jeu est trop mauvais, ou que vous êtes trop mauvais en marketing, ou que votre communauté trop petite pour vous rapporter 100$ par les ventes du jeu ou par des donations de fans. Problème réglé !
Ce qui m’a le plus choqué dans toute l’histoire, c’est quand on clame que ce frais d’entrée est injuste parce que certains développeurs n’en ont pas les moyens. Cent dollars ce n’est vraiment pas énorme : c’est moins de 20 heures de travail au salaire minimum, 20$ empruntés à 5 amis, 20 exemplaires de votre jeu vendu à 5$… Cet argument trouve également toute sont incohérence dans le fait qu’il existe tous ces autres portails où vendre le jeu (encore une fois : vous n’avez pas besoin d’être sur Steam pour vous faire de l’argent avec votre jeu).
Je comprends tout à fait que l’on puisse être dans une situation où l’on ne peut pas emprunter de l’argent à ses amis/sa famille, où l’on ne peut pas encore monétiser son jeu ou encore où l’on a moins d’une centaine d’euros sur son compte en banque parce que cela m’est arrivé aussi. Mais ne pensez vous pas que ce dont vous n’avez pas les moyen dans ce cas, c’est d’être un développeur de jeux vidéo indépendant à temps plein ?
trotter - posté le 29/09/2012 à 22:13:02. (10543 messages postés)
Qu'est-ce que vous racontez, c'est quand yaura plus de discussion comme celle-ci que le making sera mort. Il est vivant, il se débat, là, sous nos yeux.
(Reviens Djid.)
Citation:
Oniro est tellement rempli de gens qui se croient supérieurs en tous points (que ce soit Falco, Raz ou Nor
Nor ? C'est qui ça ? Nonor ? ôO ?
Le trailer de Condamné donne envie de jouer, c'est pas moche et il est drôle, bien joué Tasslehoff.
Au lieu de nous montrer l'humanité triompher, il donne des super pouvoirs à un ado (pouvoirs qu'il a un peu de mal à contrôler bien sûr, sinon ça serait trop facile). Et puis il est amnésique. Ca fait un peu Shonen à la con quoi.
Le pouvoir en question c'est de prendre possession de l'équivalent d'un robot géant pour affronter d'autres géants, bref, c'est pas follement original.
Au niveau du déroulement, c'est quand même assez répétitif.
Et au fil du manga, les titans "banals" qui faisaient si peur au début deviennent quasiment une formalité comparé aux "déviants" et aux "intelligents".
Il manquerait plus que les titans soient une expérience ratée des humains, alors que ça avait l'odeur d'une punition divine, ça serait dommage.
Ah et puis les persos principaux ne crèvent pas, je m'attendais à un truc façon Game of Thrones mais finalement les copains du héros ont pas l'air de vouloir crever. Ils sont d'ailleurs tous un peu caricaturaux.
Mais sinon c'est bien, me suis enfilé l'intégrale, merci pour la découverte.
trotter - posté le 28/09/2012 à 16:18:18. (10543 messages postés)
Pareil que kilam, en plus il a une fonction "Chute Control" qui fait que quand il tombe par terre (trois fois par jour) il s'explose complètement mais ne casse pas, il s'explose intelligemment pour amortir la chute et peu se remonter aussitôt, un peu comme les vieux téléphone.
Et puis si un jour il meurt pour de bon, c'est pas grave, il coûte 5e.
trotter - posté le 25/09/2012 à 11:32:30. (10543 messages postés)
La majorité des gens (sondage ipsos/Ifop 2004) disent que ça lague (avec un seul g si on se réfère au dictionnaire de l'académie fr 2008) quand c'est un problème de résau et que ça rame quand c'est un problème d'ornidateur.
trotter - posté le 24/09/2012 à 13:47:39. (10543 messages postés)
J'ai pas aimé non plus, pourtant j'ai adoré Saints Row 2 (par contre la maniabilité des caisses était pourrie). Le monde du 3 à l'air plus artificiel. Les héros quasiment invincibles, c'est un peu saoulant.
On a l'impression de contrôler des personnages de cartoon en fait. On a jamais peur pour les persos.
Par exemple la phase au début où il faut aller chercher sa copine qui tombe en chute libre, certes c'est classe mais bon, c'est n'importe quoi...
Le 2 c'était bien marrant, yavait plus de choses à faire :
Mais TOUT le jeu était pas comme ça, c'était juste des bonus à côté.
L'histoire était mieux :
Les clans ennemis avaient la classe (ci-dessous, un des clans) :
trotter - posté le 21/09/2012 à 21:43:09. (10543 messages postés)
C'est quoi le jeu que tu cherches là dedans Alter ? A une époque yavait des tas de magazines un peu bidons avec des cd comme ça (et une section "charme" pour que ça se vende).
trotter - posté le 21/09/2012 à 13:22:55. (10543 messages postés)
Sa famille était pas chiante aussi ?
Elle était super collante et t'empêchait de faire ce que tu veux non ? Etouffante ?
Elle bridait ton esprit créatif ?
trotter - posté le 19/09/2012 à 17:40:43. (10543 messages postés)
Modern Warfare 2, coût de développement estimé à 20 millions de dollars et une campagne marketing variant entre 60 à 80 millions :
http://www.nofrag.com/2009/oct/09/32540/
trotter - posté le 19/09/2012 à 13:02:50. (10543 messages postés)
La promenade dans les fleurs et admirer le paysage.
Enfin se faire attaquer par des trolls ok, mais bon des lapins : (
Ca casse tout le charme bucolique du jeu, au lieu de tuer les méchants on devient le méchant.
trotter - posté le 19/09/2012 à 00:37:06. (10543 messages postés)
Oui l'OST est vraiment excellente aussi, à choper (on l'entend que rarement en jeu).
C'est surtout les sons d'ambiance, c'est vraiment bien fichu, tous les 3m on a un son d'ambiance différent (eau plocploc, machine qui bipent bipent, chambre froide qui wwwmmm, immense hangar vide qui whoooosshh...) et les sons qui résonnent différemment selon l'endroit où on est.
trotter - posté le 19/09/2012 à 00:04:48. (10543 messages postés)
Bon, Black Mesa Source déchire, l'ambiance sonore est vraiment réussie, les graphs sont tout à fait correct, les monstres sont plus intéressant à combattre que dans Half Life. C'est excellent.
C'est l'histoire de Bill. Bill est un bucheron plutôt costaud qui a perdu sa femme et son fils. Un jour, alors qu'il travaille comme un forcené, il fini par arriver à la lisière de la forêt, près d'une grotte. Il n'est jamais venu ici. Il a des kilos de bois à recouper, ramasser et à rentrer chez lui. Pourtant quelque chose l'attire dans cette grotte.
Bill décide d'y entrer. A sa grande surprise, il tombe sur une sorcière qui habite ici, avec le chaudron et tout.
"Si tu veux revoir ta famille, donne-moi ce que tu as de plus précieux à ton coeur."
Bill ne sais pas ce qu'il a de plus précieux. Il n'a plus rien maintenant, il vit seul, le coeur lourd, ses yeux n'ont plus la force de pleurer. La sorcière lui dit de ne pas s'inquiéter, qu'elle, elle sait, qu'elle va lui rendre sa famille.
Il lui dit ok vas-y.
Elle touche le coeur de Bill et de son autre main jailli un torrent de lumière qui prend formes humaines. C'est effectivement sa femme et son fils qui se matérialisent, ils sont bien vivants, ils lui sautent au cou !
Bill les repousse, un peu gêné.
"Vous vous étiez perdu dans cette grotte ? Elle est pourtant pas bien grande", fait-il.
Sa femme comprends tout de suite, en voyant son regard. Bill ne se rappelle plus d'elle blabla ce qu'il avait de plus précieux après les avoir perdu c'était ses souvenirs blablabla mes couilles.
On est en l'an 3130. C'est complexe, c'est le futur. Sur les toits nous retrouvons Johnson, le fameux ninja cybernétique. Les progrès de la science ont permis de modifier le corps avec des implants bio-mécaniques blabla très compliqués. Johnson surveille ce soir un musée, qui a de bonnes chances de se faire cambrioler, pense-t-il après avoir démélé les tortueux fils d'une enquète qui l'a mené dans les bas fonds de Nouveau Paris et dans ce bouge infâme où on se défonce au DMT en écoutant les derniers disques de Stingger, la chanteuse pop recréée artificiellement par un processus très chiant à expliquer en laboratoire. Voyant que rien ne semble bouger à l'extérieur, il pénètre dans le musée avec ses ninjas skillz. D'en haut, sur la poutre, tout à l'air calme. Soudain, il voit le tableau principal du musée, le Golden Mes Couilles, traverser la pièce en dodelinant. Johnson, croyant avoir à faire à un voleur invisible, lance son shuriken électrique... et rate. Le tableau bouge tout seul vers la sortie. Alors quoi ? Des nanos particules volantes ?
Johnson saute de son perchoir bien déterminé à faire obstacle à l'oeuvre d'art fuyante et là il... passe au travers.
Ainsi, peut être que quelqu'un porte le tableau, mais qu'il ne peut pas le toucher...
Johnson a alors une super idée : il voit que le voleur marche sur le sol donc il tire le tapis/il se rend compte que le voleur est intangible mais il doit bien réagir au son donc il lui fait une attaque sonique et.../il lui hack son esprit/il le suit jusqu'à son repère où...
Ouais bon là c'est un mauvais exemple.
Mais à la fin on peut avoir un super vilain qui réuni les meilleurs œuvres d'art du monde pour euh, les concentrer en UNE oeuvre d'art ultime dont la seule exhibition lui permettra de contrôler les émotions de toute la population ou un truc du genre, c'est pas classe ça ? Un peu comme le parfum avec une œuvre d'art. On pourrait appeler ça le chef des chefs d'oeuvres ou un truc du genre. L'oeuvre d'art ultime pour moi c'est une petite statuette c'est rigolo, en fait ça serait cool si on la décrivait jamais exactement, on décrit juste ce qu'elle fait ressentir aux gens.
Dans un monde où tout est virtuel avoir cette oeuvre physiquement si forte, si puissante, impossible à dupliquer tellement est est trop belle, ça serait marrant.
Ah putain ça sonnait mieux quand j'avais 8 ans.
Sinon San Antonio fait pareil pour écrire ses bouquins, c'est des bouquins policiers en plus.
trotter - posté le 17/09/2012 à 20:54:17. (10543 messages postés)
Non, moi je le fais au fur et à mesure, comme quand je jouais aux petits bonhommes quand j'avais 8 ans... A la limite ya parfois une vague direction voir le twist en tête.
Je vois pas en quoi ça rend le scénar mauvais ou simpliste, quand on regarde un film il se déroule petit à petit, là c'est pareil. On peut aussi modifier des petits éléments aux début si on veut mais bon.
C'est un peu comme de l'impro au théâtre, ya parfois des choses excellentes (et très complexes) qui en sortent.