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Créacoda - posté le 15/07/2023 à 15:36:25 (1322 messages postés) - ❤ 0

L’ayahuasca, ça m’intéresse beaucoup mais c’est plus risqué. Je devrais aussi compter sur quelqu’un pour vivre mon expérience et je ne veux pas imposer un bas trip à mes proches. Mais c’est quelque chose que je veux faire éventuellement. Citation: Chimiquement peut etre , je ne sais pas , l'addiction pour le ressenti des effets existe. Je ne verrais pas d’inconvénient à prendre de la psilocybin quotidiennement jusqu’à ma mort perso, je le fais des déjà avec des anti-dépresseurs, ça me laisse indifférent. L’effet apaisant n’est pas semblable à de l’alcool notamment, c’est différent (et difficile à expliquer puisque c’est une sensation). Citation: Je ne vais pas raconter ma vie, ça ne regarde personne mais j'ai pas besoin de livres pour partager ma propre expérience ou faire le constat de métamorphose de proches. Je pense qu’on est tous d’accord que les drogues ont un impact si c’est ce que tu es en train de dire. Je parle spécifiquement des drogues hallucinogènes. Si tu me dis que toi ou tes proches ont changés pour le pire après avoir fait du micro dosing, j’aurais des gros doutes par contre. Sinon ta propre expérience n’est pas nécessairement représentative de la norme. Je veux dire, tu peux avoir été malchanceux, ça me veut pas dire que tous partageront ta malchance. Mon arrière-grand-mère est décédée en tombant dans une cage d’ascenseur. Je ne vais pas pour autant éviter les ascenseurs et dire aux autres d’utiliser les escaliers. Citation: Si les médicaments sont la dernière et seule solution , que les sujets n'observent pas de changement de comportements, d’idées négatives ou noires et que ça leurs fait du bien, tant mieux. Le changement de comportement c’est un peu le but en même temps, en tout cas partiellement. Citation: Non, ce que je veux dire c'est qu'il y a des alternatives "naturelles" a essayer ou voir d'autres professionnelles de la santé avant de choisir la voie médicamenteuse et artificielle. Mais pourquoi vouloir les alternatives naturelles? Se faire opérer, c’est naturel? Porter des lunettes? Les prothèses? Du déodorant? La thérapie génique ce sera naturelle ou pas? La chimiothérapie? Les champignons… c’est naturel, non? Non mais moi, que ce soit naturel ou pas, ça n’a pas d’importance. Je prends ce qui fonctionne le mieux. Chimique, artificiel, naturel, absolument aucune importance. Je suis de près le progrès humain et je ne souhaite par vivre au naturel parce que c’est naturel. La médecine c’est beaucoup contrecarrer les problèmes naturels justement à mon sens. Citation: Pour luter contre l'anxiété, le stress, la dépression... le sport me semble également une bonne piste. Ca libère aussi pas mal de drogues dans le cerveau, et c'est une manière de travailler sa volonté, ce qui me semble le but de manière générale. Désir > volonté > puissance. C'est un combat. Je vois la dépression comme l'incapacité d'agir, parce qu'on arrive plus à désirer, que la volonté a été anéantie. Je cours à chaque jour, environ une heure. Bref, l’un n’empêche pas l’autre. Après, l’apaisement est temporaire. On ne demande pas à un schizophrène de faire du sport pour se guérir (pas seulement en tout cas). C’est la même chose pour la dépression. Bien dormir aussi. L’alimentation. Il y a beaucoup de facteurs. Citation: Je ne sais pas si le micro-dosage peut-être efficace, mais c'est le principe des antidépresseurs dans un sens. Autant je doute qu'on puisse habituer le cerveau à produire plus de sérotonine ou autre, autant parfois ça fait du bien d'avoir un taux élevé d'empathie pour créer un changement de paradigme. Le but étant ensuite de reproduire cette satisfaction par nos propres moyens. Il existe maintes actions qui procurent les mêmes effets. Bon là on tombe dans du lourd avec la biochimie du cerveau et c’est quelque chose que je comprends pas encore. C’est pour le moins complexe. J’ai l’impression que « maintes actions qui procurent les mêmes effets » est un fossil idéologique. C’est un peu un lieu commun à mon sens et c’est une simplification de quelque chose d’immensément complexe. Ça culpabilise aussi ceux qui ne parviennent pas à vivre leurs problèmes de santé mentale: « Ben c’est de ta faute, t’as qu’à faire plus d’exercice! ». Je me souviens, qu’au Japon, je devais faire de l’exercice 2 ou 3 heures par jour. Je dormais assez bien et je mangeais bien. Pourtant, j’étais tellement malheureux et j’ai eu ma première et seule crise panique à ce moment. Citation: Que cherches-tu avec les micro doses ? Augmenter le taux de neurotransmetteurs type sérotonine, dopamine ? Changer ton comportement ? Te rendre plus actif ? Aller vers les autres ? À la base, je suis angoissé du matin jusqu’au soir avec des symptômes physiques très désagréables. Je dirais que c’est plus de l’angoisse que de la dépression dans mon cas. C’est inexplicable, je n’ai pas de raisons (conscientes en tout cas). Je ne suis pas dans une situation qui devrait générer de l’anxiété, pas à mon sens en tout cas. Je ne trouve pas difficile d’aller vers les autres, je ne suis pas timide. J’aimerais aimer davantage mon prochain, ça c’est sûr. C’est quelque chose qui est difficile pour moi. Je suis assez indifférent aux autres, je ne m’attache pas beaucoup en général. J’aimerais mieux comprendre les autres et ne pas les juger. Mais plus concrètement, c’est l’angoisse dont je veux me débarrasser. Après, je suis curieux de vivre une expérience psychédélique, c’est vrai et pas juste pour des raisons thérapeutiques. Ce serait comme explorer un nouveau pays, un nouvel endroit. Pour quelqu’un de créatif comme moi, j’aimerais vivre cette expérience, d’où l’ayahuasca.

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Lünn - posté le 15/07/2023 à 18:00:47 (4230 messages postés) ❤ 2Troma Créacoda

Citation: Ça culpabilise aussi ceux qui ne parviennent pas à vivre leurs problèmes de santé mentale: « Ben c’est de ta faute, t’as qu’à faire plus d’exercice! ». Ce n'est absolument pas ce que j'ai dit, mais que le sport était une bonne base pour augmenter le taux d'hormones comme la dopamine, sérotonine, endorphines... C'est comparable à l'effet de certaines substances dont du parles. De plus il permet de travailler quotidiennement et sur le long terme, en voyant un résultat positif sur son corps et son cerveau. Ce qui facilite ensuite les rapports sociaux, qui semblent t'inquiéter. Le sport ne résout pas tout, mais il est particulièrement adapté contre la dépression selon moi. J'espère que tu as remarqué que je n'étais pas fermé à ton point de vue ayant moi même testé certaines substances. Tout ce que je dis c'est que probablement sans plus de connaissances (sans même connaitre l'effet véritable des ces drogues) la chance de corriger tes problèmes est faible. Je dis aussi que ça doit être des expériences quasi-uniques. Je ne pense pas qu'une substance puisse résoudre un problème sur le long terme grâce à sa consommation. Simplement qu'elle peut nous montrer une nouvelle facette de notre personnalité à développer, par exemple en ayant beaucoup d'empathie, ou en faisant des liens qu'on aurait pas fait si on était lucide. Les champis n'ont pas grand chose à voir avec l'ayahuasca (violence de l'effet) et encore moins avec la MDMA. Ils m'ont simplement fait ressentir une grande fatigue, avec quelques altérations visuelles. Ensuite mon cerveau a repris le dessus pour m'occuper des filles avec qui j'étais (les trainer de dehors à dedans et leur donner les vases de ma grand mère pour les occuper, puis leur faire à manger). Certes à forte dose les effets sont comparables au LSD, mais d'après mes expériences et mes lectures, il y a un risque pour une personne dépressive. L'ayahuasca est un mélange de plantes bien spécifique, de toute façon peu rependue est associée à un rituel chamanique. La perte des sens peu être totale après des vomissements, le corps se vide et l'esprit est projeté. C'est plutôt une expérience spirituelle utilisée par les chamans, parfois dans le cadre d'une pensée "magique" (sorcellerie). Enfin la MDMA est une drogue de synthèse consommée en "parachute" de poudre ou dans un extasy avec des amphétamines. Généralement elle est utilisée en soirée techno car augmente la sensibilité à la musique, au toucher surtout, et procure de l'empathie. De mon point de vue en prendre une fois est une expérience agréable, mais en prendre trop souvent est vraiment dangereux pour sa santé mentale. (instabilité émotionnelle etc). Tu devrais au moins lire « Les portes de la perception » (Aldous Huxley, même auteur que « le meilleur des mondes »), « Flash » (Charles Duchaussois), « Roman avec Cocaïne » (Aguéev), « Lucie dans le ciel » (Tom Verdier, très mal écrit mais spécifiquement sur le LSD et les champis, DMT, Ayahuasca : ça va te plaire). Si tu as envie de tester des choses pourquoi pas, mais évite d'être seul et renseigne toi, surtout avec les psychédéliques. Mon propos va dans le sens de plutôt miser sur l'action, et de ne pas attendre qu'un élément extérieur te vienne en aide.

Troma - posté le 15/07/2023 à 18:47:52 (6236 messages postés) - ❤ 0
Je procrastine	Non je parle pas de drogues hallucinogènes mais de médicaments. Je ne pense pas que le mélange sans indications spécifique par un professionnel soit très judicieux. Citation: Le changement de comportement c’est un peu le but en même temps, en tout cas partiellement. Oui et non, c'est supposé atténuer les troubles, pas en crée d'autre ou changer le reste. Citation: Mais pourquoi vouloir les alternatives naturelles? Parce-que se défoncer , prendre des médicaments susceptible de ne pas correspondre a tout le monde (et notamment de ne plus pouvoir conduire pour la plupart) voir mélangé les deux sans essayer d'autres alternatives , c'est pas forcement la dernière ou la meilleur solution. Je pense qu'il est préférable d'abord d'envisager , si possible , des méthodes plus "saines" avant . Le probleme c'est que ca peut atténuer tes troubles comme en crée d'autres sans même que tu t'en rende forcement compte ou se dissiper au fil du temps au point de moins ressentir les effets et te pousser a devoir prendre des doses chaque fois plus fortes. Une fois l'effet dissipé tu fais quoi ? tu vas au lit en attendant la prochaine prise ? tu outrepasses l'indication ? Citation: Sinon ta propre expérience n’est pas nécessairement représentative de la norme. Non mais les effets indésirables existent est il est pas mauvais de le dire, notamment l'accentuation d'idées suicidaires , l’ennuie et la colère entre autre. chacun est libre de faire ce qu'il veux médicalement a condition que ce soit proposé par un professionnel mais une fois entamer certains traitement ne peuvent être arrêter comme ça, alors l’automédication par les drogues... Je ne dis pas " faite ce que je dis" mais "essayez de voir si il y a rien a faire d'autre avant" Ta propre expérience n'est pas non plus représentative de ce qui est bien ou non.
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trotter - posté le 22/07/2023 à 11:33:20 (10543 messages postés) ❤ 0
	Créacoda a dit: Sinon, êtes-vous d'accord avec ça? Citation: Les amis ? Les amis, ils veulent juste s’amuser, passer du bon temps, parler de choses légères. Ils ont leurs propres problèmes, leur propre vie. Ils calculent le temps qu’ils dépensent avec toi et ce que ça leur rapporte en bonheur. Si t'es une jolie fille/quelqu'un avec de l'argent déprimé, des gens vont venir autour de toi pour "t'aider", "te remonter le moral". Autre cas, si ta bonne humeur te rend INSUPPORTABLE (par exemple rire fort, énergie incontrôlée, humour qui devient de la moquerie), les gens vont t'esquiver. Bref c'est pas une question d'exprimer le bonheur/malheur mais de ce que les gens peuvent en tirer. Une alternative à ça, le Saint Graal pour beaucoup c'est l'amour inconditionnel©® c'est à dire une personne qui t'aime et reste avec toi : -pour ce que tu es ; -pour l'éternité ; -en sacrifiant tout ; -quoi que tu fasses, même si tu la frappes ou détruit ce qu'elle aime ; Mais c'est super rare à trouver à part chez des parents (pas tous !) et chez les chiens. En outre ce n'est PAS quelque chose de souhaitable chez son compagnon. Enfin, à mon avis ce n'est pas un truc à chercher, c'est assez inutile voire dangereux.
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Créacoda - posté le 22/07/2023 à 13:50:25 (1322 messages postés) - ❤ 0

Perso, j’aimerais aimer tout le monde de façon inconditionnelle. C’est peut-être naïf de ma part. Je n’y arrive pas, mais j’y aspire. Je pense que ça devient plus facile quand on séparer les comportements des individus. Autrement dit, ne pas aimer les comportements au lieu de ne pas aimer les individus. Sinon, je trouve que les micro-doses pour moi sont plus efficaces que les anti-dépresseurs traditionnels. Je voulais attendre avant d’en parler, mais les résultats sont là. Bon, c’est pas on ne peut plus limité comme statistique mais c’est mon expérience personnelle. J’en prends aux deux jours pour éviter que mon corps s’habitue. Je suis très intrigué par la résonance magnétique et j’ai très hâte d’en faire l’expérience.

Noiracide - posté le 28/07/2023 à 12:22:16 (2696 messages postés) ❤ 0
	Créacoda a dit: Je suis très intrigué par la résonance magnétique et j’ai très hâte d’en faire l’expérience. WTF?! Tu as hâte de passer un IRM ? je suis moi même un grand anxieux (je suis d'ailleurs à nouveau dans une période d'anxiété généralisé et prise d'antidep car les matins sont trop difficiles au rèveil) la raison de mon anxiété est plus ou moins cohérente et explicable même si on ne peut jamais réellement situer précisément le nid d'origine de l'anxiété (c'est un ensemble et de relation parfois complexe) Cependant de mon point de vue je ne crois ni en l'automédication par sources internet ni aux pseudo sciences, qui sont des techniques placebo qui au mieux soulage la personne qui reste convaincu de sa vérité jusqu'à un certain point, au pire ne sert à rien , te font perdre du temps et de l'argent ou dégrade d'avantage la situation. J'ai pas l'impression que le bénéfice-risque soit intéressant mais si c'est ton cas temps mieux en espérant que cela continue C'est un des sujets parmi lesquels j'ai aimé discuter avec divers professionnel de la santé, très ouvert sur ça, durant ces dernières années, mais au final ce que j'en ai retenue c'est ”tu es libre de faire ce que tu veux de ton corps mais à tes risques et périls”
http://lumensection.com

Créacoda - posté le 28/07/2023 à 12:40:02 (1322 messages postés) - ❤ 0

Je me suis trompé dans la terminologie. Tiens, ça explique de manière plus claire: Citation: Moyennant un investissement de 125 000 $, l’hôpital d’Alma est le premier au Lac-Saint-Jean à mettre la main sur ce type d’équipement médical. « Ça faisait plusieurs années que j’essayais d’obtenir cet appareil qui existait déjà aux États-Unis depuis très longtemps. C’est un beau gain pour la population », se réjouit Luc Cossette, psychiatre et chef de service du département de psychiatrie de l’hôpital d’Alma. Le clinicien explique que le nouvel appareil permet de pallier les limitations des autres types de traitement, tels que la médication, qui « ne fonctionne pas tout le temps ». « On a aussi d’autres alternatives, comme la sismothérapie (anciennement appelée électrochocs). Mais même si elle fonctionne très bien, la sismothérapie est plus invasive. Il faut se déplacer au bloc opératoire parce que ça prend l’intervention des anesthésistes pour endormir la clientèle. » De plus, contrairement à la sismothérapie, le traitement par stimulation magnétique transcrânienne répétitive permet de cibler des zones plus précises du cerveau. « On peut vraiment envoyer des ondulations magnétiques dans les zones qui modulent l’humeur, c’est-à-dire les zones qui sont plus en défaut dans les troubles dépressifs. Ça va créer un courant électrique qui va avoir pour effet de réanimer ces zones-là, qui sont souvent en situation d’hypofonctionnement. » Aussi, il s’agit d’un traitement pouvant s’effectuer en seulement trois minutes, comparativement aux séances de sismothérapie qui peuvent durer jusqu’à une heure. Les traitements par stimulation magnétique transcrânienne répétitive s’échelonnent sur une période de quatre à six semaines, à concurrence d’environ 20 à 30 traitements. Selon Luc Cossette, le nouvel appareil permet d’améliorer la condition de 50% des patients réfractaires aux traitements alternatifs, ce qui est « significatif ». On doit passer par un psychiatre pour pouvoir suivre un traitement. J’ai donc fait les démarches. On verra bien!

Falco - posté le 28/07/2023 à 13:46:30 (19572 messages postés) - ❤ 0
Indie game Developer	Wow c'est génial ce truc oO Ca donne énormément d'espoir, j'ai hâte d'avoir de vrais retours là dessus. 50 % ca me semble énorme. Quelque chose de difficile dans les problèmes d'ordre psychologiques, c'est leur coté inéluctable. Je sais pas trop à quel point une personne qui a vécu des évènements traumatisants peut s'en sortir avec diverses techniques, mais j'ai l'impression que bien souvent on trouve pas franchement de solution, on a des médicaments pour donner une impression que ça va, mais ça a l'air d'être toujours très éphémère. C'est ce qui fait peur je trouve, aussi bien en étant sujet qu'en tant que spectateur. J'ai une amie à moi qui est "borderline", sa condition fait qu'elle gâche sa vie en faisant tout ce qu'il ne faut pas faire, ca me rend tellement triste parce que j'ai l'impression qu'elle n'est pas maitre de ça et qu'elle ne pourra rien y faire. Pour mon expérience personnelle, rien de grave je pense, mais j'ai toujours eu, depuis tout petit, des phases assez dures de mal-être ou, sans l'expliquer, je me sens triste, différents, pas fait pour ce monde, ça va durer 4-5 jours ou je vais me renfermer et ou j'aurais l'impression que rien ne m'aidera. Quand j'étais petit je trouvais toujours des explications "logique" par exemple à l'école primaire je me disais que ça irait mieux au collège parce que je serais plus grand et qu'être petit dans ce monde c'est difficile, ensuite au collège je pensais que devenir adulte avec un appartement et un salaire m'aiderait à aller mieux, une fois adulte je pensais qu'il fallait que je trouve un travail qui me plait vraiment, ensuite que j'arrive à créer un jeu, que j'ai une relation amoureuse saine, etc... sans jamais parvenir à trouver ce moment de paix et de bonheur malgré les achievments. Ma vie est une quête perpétuelle de recherche de cet objectif de béatitude L'année dernière (j'en avais parlé sur Oniro) ces phases sont devenues de plus en plus difficiles et j'ai donc franchis le pas pour aller voir une psy et ça m'a fait du bien j'ai pu toucher du doigts la source de certains problèmes, comprendre mon état, et mon humeur s'est amélioré, même si j'ai des rechutes de temps à autres, j'ai l'impression que ça va globalement mieux ! Je n'ai jamais pris d'anti dépresseur en revanche, je crois pas que mon cas sois assez poussée pour ça. En tout cas c'est un sujet qui m'intéresse !
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