Roi of the Suisse -
posté le 23/03/2013 à 21:24:13 (29895 messages postés)
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Chanter l'hyperchleuasme
Ouais mais pour les gens qui prononcent bien "pèrssile" ça ne rime pas et ça surprend comme la première fois qu'on ramasse une savonette dans les douches du rugby.
Tasslehoff -
posté le 23/03/2013 à 22:01:04 (5239 messages postés)
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Disciple de Pythagolf
Pour pas qu'il y ait de problème on a qu'à remplacer par "anis".
Edit : Il y a "curry" qui fonctionnerait.
Edit 2 :
Mais où se trouvent les glucides
Qui rendront le fêlé lucide ?
Allons chercher dans la forêt
Où l'herbe humide et le vent frais
Venant tout droit de la prairie
Nous mèneront aux sucreries.
Enfourchons donc nos étalons
Et, parmi les champs d'orge blond,
Chevauchons le long de la route
Afin que nos montures broutent.
Nous tâcherons de faire halte
Savourant le plus pur des malts
A la taverne du vieux puits.
Nous y dormirons cette nuit
Jusqu'à la douce matinée,
Mais pour finir cette journée
Parcourons le plus de chemin
Car si le temps n'a pas de fin
Notre période est limitée.
Poursuivons notre chevauchée
Il ne faut pas perdre de temps :
Les ravins à franchir sont grands,
Les montagnes sont escarpées !
Nous voilà si vite pépés
Dégarnis et ventripotents...
Quand d'un espoir des plus ardents
Nous effaçons tous nos défauts
Car nous nous lèverons bientôt
En une armée tout équipée,
Écrivains de plumes armés,
Poètes aux esprits abstraits
Qui dans leur coin s'amenuisaient,
Proies d'une oisiveté cruelle
Ils accourent à notre appel
Et nous auront vite rejoints
Dans notre quête du lointain.
À présent nous voilà dix mille
Qui, voyageant de ville en ville,
Approchons lentement du but.
J'ai ouï dire d'une cahute
Où dans les bois vit un sorcier !
Peut-être peut-il nous aider,
Mais il faudra payer le prix
D'un coup de tige et l'air aigri
Nous enivrant dans un éclat
Nous appelant vers l'au-delà
En faisant coucou de la main :
"Hé toi là, petit galopin !"
Tout agité, les bras branlants.
N'affichant aucun sentiment
Au travers de son regard vide
Dissimulé sous quelques rides,
Du sucre il connait la recette :
D'une vigoureuse roussette
Extrayez un oeuf vibrant
Puis broyez-le, cet innocent
De ses restes nauséabonds
Vous pourrez faire des bonbons
À condition de saupoudrer
Le mélange de riz complet
Laissez mijoter une nuit
Ajoutez un brin de persil => curry ? Salez, remuez fermement
Pour conclure vient l'ingrédient
Dont je ne peux dire le nom
~~
Hellper -
posté le 23/03/2013 à 22:20:29 (5402 messages postés)
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Tonton Hellper
Non mais en fait ça marche de prononcer percil "perci".
J'avais pas pensé que mon post serait ambigu.
Tcheikovski -
posté le 23/03/2013 à 23:03:33 (2021 messages postés)
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Pff.
Mais où se trouvent les glucides
Qui rendront le fêlé lucide ?
Allons chercher dans la forêt
Où l'herbe humide et le vent frais
Venant tout droit de la prairie
Nous mèneront aux sucreries.
Enfourchons donc nos étalons
Et, parmi les champs d'orge blond,
Chevauchons le long de la route
Afin que nos montures broutent.
Nous tâcherons de faire halte
Savourant le plus pur des malts
A la taverne du vieux puits.
Nous y dormirons cette nuit
Jusqu'à la douce matinée,
Mais pour finir cette journée
Parcourons le plus de chemin
Car si le temps n'a pas de fin
Notre période est limitée.
Poursuivons notre chevauchée
Il ne faut pas perdre de temps :
Les ravins à franchir sont grands,
Les montagnes sont escarpées !
Nous voilà si vite pépés
Dégarnis et ventripotents...
Quand d'un espoir des plus ardents
Nous effaçons tous nos défauts
Car nous nous lèverons bientôt
En une armée tout équipée,
Écrivains de plumes armés,
Poètes aux esprits abstraits
Qui dans leur coin s'amenuisaient,
Proies d'une oisiveté cruelle
Ils accourent à notre appel
Et nous auront vite rejoints
Dans notre quête du lointain.
À présent nous voilà dix mille
Qui, voyageant de ville en ville,
Approchons lentement du but.
J'ai ouï dire d'une cahute
Où dans les bois vit un sorcier !
Peut-être peut-il nous aider,
Mais il faudra payer le prix
D'un coup de tige et l'air aigri
Nous enivrant dans un éclat
Nous appelant vers l'au-delà
En faisant coucou de la main :
"Hé toi là, petit galopin !"
Tout agité, les bras branlants.
N'affichant aucun sentiment
Au travers de son regard vide
Dissimulé sous quelques rides,
Du sucre il connait la recette :
D'une vigoureuse roussette
Extrayez un oeuf vibrant
Puis broyez-le, cet innocent
De ses restes nauséabonds
Vous pourrez faire des bonbons
À condition de saupoudrer
Le mélange de riz complet
Laissez mijoter une nuit
Ajoutez un brin de persil
Salez, remuez fermement
Pour conclure vient l'ingrédient
Dont je ne peux dire le nom Il a un petit goût citron
Mais le doux parfum de la mangue
Bouh.
Tasslehoff -
posté le 23/03/2013 à 23:30:00 (5239 messages postés)
Kno -
posté le 24/03/2013 à 00:53:36 (4180 messages postés)
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IV L'Empereur
Roi of the Suisse a dit:
COMME LE PALAIS OMNISPORTS DE PARIS-BERCY ???2??22?222[/size]
Absolument, on dit Paris-Percy, ignare.
En général je prononce le L aussi, mais j'ai décidé de lancer un débat à chacune de mes participations je sais que les deux se disent donc pour la rime, toussa...
Mangue c'est pas en deux syllabes aussi, des fois (Man/Gueu)? Auquel cas "Mais la douceur d'une mangue" fonctionne.
Je suis venu ici pour corriger des bugs et botter des culs, et chez moi ça marche.
Hellper -
posté le 24/03/2013 à 09:13:02 (5402 messages postés)
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Tonton Hellper
Non, une syllabe vu que c'est en fin de vers et le "e" final est forcément élidé (pour mangue).
Xwdrffgt -
posté le 24/03/2013 à 10:41:55 (1366 messages postés)
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A l'ancienne
Bah la phrase est pas super jolie après "Il a un petit goût citron pourtant la douceur d'une mangue" je trouve ça mal dit quand même.
Après c'est que mon avis, faîtes ce que vous voulez, balancez votre flow, maîtres du beat.
Et bah, ça faisait longtemps
Roi of the Suisse -
posté le 24/03/2013 à 11:49:05 (29895 messages postés)
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Chanter l'hyperchleuasme
Ah oui en effet, bah "avec" à la place de "pourtant" alors.
Tasslehoff -
posté le 24/03/2013 à 15:53:36 (5239 messages postés)
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Disciple de Pythagolf
Mais où se trouvent les glucides
Qui rendront le fêlé lucide ?
Allons chercher dans la forêt
Où l'herbe humide et le vent frais
Venant tout droit de la prairie
Nous mèneront aux sucreries.
Enfourchons donc nos étalons
Et, parmi les champs d'orge blond,
Chevauchons le long de la route
Afin que nos montures broutent.
Nous tâcherons de faire halte
Savourant le plus pur des malts
A la taverne du vieux puits.
Nous y dormirons cette nuit
Jusqu'à la douce matinée,
Mais pour finir cette journée
Parcourons le plus de chemin
Car si le temps n'a pas de fin
Notre période est limitée.
Poursuivons notre chevauchée
Il ne faut pas perdre de temps :
Les ravins à franchir sont grands,
Les montagnes sont escarpées !
Nous voilà si vite pépés
Dégarnis et ventripotents...
Quand d'un espoir des plus ardents
Nous effaçons tous nos défauts
Car nous nous lèverons bientôt
En une armée tout équipée,
Écrivains de plumes armés,
Poètes aux esprits abstraits
Qui dans leur coin s'amenuisaient,
Proies d'une oisiveté cruelle
Ils accourent à notre appel
Et nous auront vite rejoints
Dans notre quête du lointain.
À présent nous voilà dix mille
Qui, voyageant de ville en ville,
Approchons lentement du but.
J'ai ouï dire d'une cahute
Où dans les bois vit un sorcier !
Peut-être peut-il nous aider,
Mais il faudra payer le prix
D'un coup de tige et l'air aigri
Nous enivrant dans un éclat
Nous appelant vers l'au-delà
En faisant coucou de la main :
"Hé toi là, petit galopin !"
Tout agité, les bras branlants.
N'affichant aucun sentiment
Au travers de son regard vide
Dissimulé sous quelques rides,
Du sucre il connait la recette :
D'une vigoureuse roussette
Extrayez en un oeuf vibrant
Puis broyez-le, cet innocent
De ses restes nauséabonds
Vous pourrez faire des bonbons
À condition de saupoudrer
Le mélange de riz complet
Laissez mijoter une nuit
Ajoutez un brin de persil
Salez, remuez fermement
Pour conclure vient l'ingrédient
Dont je ne peux dire le nom
Il a un petit goût citron
Mais le doux parfum de la mangue
Qui pétille au bout de la langue.
Il n'est pas simple à acquérir
~~
zebrot -
posté le 24/03/2013 à 19:37:52 (1601 messages postés)
❤ 0
Troller lvl 1
Aiguisés bon sang de zutre!!!
Poètes aux esprits aiguisés!
y'a une synérèse sur poète §§§
Mais où se trouvent les glucides
Qui rendront le fêlé lucide ?
Allons chercher dans la forêt
Où l'herbe humide et le vent frais
Venant tout droit de la prairie
Nous mèneront aux sucreries.
Enfourchons donc nos étalons
Et, parmi les champs d'orge blond,
Chevauchons le long de la route
Afin que nos montures broutent.
Nous tâcherons de faire halte
Savourant le plus pur des malts
A la taverne du vieux puits.
Nous y dormirons cette nuit
Jusqu'à la douce matinée,
Mais pour finir cette journée
Parcourons le plus de chemin
Car si le temps n'a pas de fin
Notre période est limitée.
Poursuivons notre chevauchée
Il ne faut pas perdre de temps :
Les ravins à franchir sont grands,
Les montagnes sont escarpées !
Nous voilà si vite pépés
Dégarnis et ventripotents...
Quand d'un espoir des plus ardents
Nous effaçons tous nos défauts
Car nous nous lèverons bientôt
En une armée tout équipée,
Écrivains de plumes armés,
Poètes aux esprits aiguisés
Qui dans leur coin s'amenuisaient,
Proies d'une oisiveté cruelle
Ils accourent à notre appel
Et nous auront vite rejoints
Dans notre quête du lointain.
À présent nous voilà dix mille
Qui, voyageant de ville en ville,
Approchons lentement du but.
J'ai ouï dire d'une cahute
Où dans les bois vit un sorcier !
Peut-être peut-il nous aider,
Mais il faudra payer le prix
D'un coup de tige et l'air aigri
Nous enivrant dans un éclat
Nous appelant vers l'au-delà
En faisant coucou de la main :
"Hé toi là, petit galopin !"
Tout agité, les bras branlants.
N'affichant aucun sentiment
Au travers de son regard vide
Dissimulé sous quelques rides,
Du sucre il connait la recette :
D'une vigoureuse roussette
Extrayez en un oeuf vibrant
Puis broyez-le, cet innocent
De ses restes nauséabonds
Vous pourrez faire des bonbons
À condition de saupoudrer
Le mélange de riz complet
Laissez mijoter une nuit
Ajoutez un brin de persil
Salez, remuez fermement
Pour conclure vient l'ingrédient
Dont je ne peux dire le nom
Il a un petit goût citron
Mais le doux parfum de la mangue
Qui pétille au bout de la langue.
Il n'est pas simple à acquérir
Car il faut aller le cueillir
Au lointain pays utopique
Xwdrffgt -
posté le 24/03/2013 à 22:35:13 (1366 messages postés)
❤ 0
A l'ancienne
Je suis outré !
Autant pour les synérèses et apostrophes je suis d'accord, autant pour la diérèse je m'outre, m'offusque et me fouigre.
Je le dis haut et fort, ROTS tu n'es qu'un osé nazi de la poésie !