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Thibault de Mondidier - posté le 22/08/2007 à 16:46:27 (14 messages postés)

❤ 0

Voilà maintenant quatre ans que je travaille sur ce projet. Je n'ai pas tenu à mettre ce sujet dans la section "projet" car étant donné son avancement, cela aurait été orgueilleux de ma part.
J'ai toujours été fasciné par le rpg, cela fait presque 10 ans que j'ai attrappé le virus.
Mais plus j'avance dans l'âge, plus je me suis sentis insatisfait. Il y a, et cela n'engage que moi", une certaine pudeur dans les rpg. On accepte de voir tueries, massacres, horreur, mais de l'amour voir un peu plus, c'est le bloccage. Aussi je tenais à apporter ma vision de ce que pourrais être un final.

Je rappel bien sur que certains termes comme le nom de certaines villes, celles chocobos et des mogs sont la propriété de Square. Le reste sort de mon imagination.

Ensuite, j'avoue que j'ai besoin de critique, de soutient. Car l'histoire avance bien et je veux savoir si ce que je fais pourrais mériter une édition papier ou simplement rester sur la toile du net.

Aussi, le rpgiste que je suis a besoin de vous.
Mais je sais également que vous avez tous une vie. Aussi, je me contenterai de poster mon histoire au fur et à mesure pour ne pas vous agacer et surtout pour ne pas que vous passier plus d'une heure sur l'ordi à lire mon blabla.

Ouf. L'introduction est faite, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture.



Chapitre 1 : Le départ

Aujourd’hui, ce n’est pas un jour comme les autres. Ce soir, la déesse blanche sera plus forte que jamais. Sa blancheur fera comme si le jour n’avait pas de fin. Cet événement n’arrive qu’une fois par an, et c’est ce soir là, que la chimère recevra son sacrifice. Comme chaque année, toutes les femmes de plus de 15 ans se positionnent sur la place centrale. C’est à ce moment là que la chimère apparaît face à la lune et choisit l’une des femmes, elle doit alors se mettre à genoux, ensuite, un garçon qui est né ce même jour, doit à ses 18 ans lui ouvrir la poitrine et sortir le cœur pour l’offrir à la chimère. Si ce sacrifice n’est pas réalisé, la Chimère détruira le village. Pour le garçon, s’il n’est pas tué par la chimère après le sacrifice, il entre dans le monde des adultes. Et le garçon pour cette année, c’est moi.
Depuis tout petit l’ancien, du villa m’a dit que ce jour viendrait. En conséquent, il m’a toujours mit à l’écart du village pour que je ne me familiarise avec personne. J’avais le droit d’entrer qu’une fois dans le village : Le jour du sacrifice, et c’était la même chose pour les autres garçons nés le même jour. L’ancien était la seule famille qu’il me restait. Je le trouvais gentil, et il me racontait beaucoup d’histoires. Notamment sur le fait que ce village n’avait connu qu’une fois la destruction, c’était il y a 18 ans, mon père qui avait assisté à ma naissance tomba en larme. Il était excédé par ces pratiques inhumaines, car il savait qu’un jour son fils devraient tuer une femme pour protéger le village. Le soir même, il tenta d’arrêter le sacrifice en défiant la chimère. Celle-ci fut folle furieuse et détruisit le village. Pour calmer sa colère, le reste des villageois obligèrent mon père à s’ouvrir le ventre, et ma mère du lui couper la tête avant d’être elle même lapidée. Quand l’ancien me raconta cette histoire, une haine naquit dans les profondeurs de mon corps, elle criait vengeance. Je ne sais pourquoi l’ancien me raconta cela, mais il n’en fit jamais allusion, et ce soir, je vais devoir faire le sacrifice, bien que je n’en n’aie pas envie. Comme je n’étais pas autorisé à entré dans le village, je pouvais parcourir les environs à ma guise, mais je ne pouvais aller bien loin. Notre village est au cœur d’une forêt magique, et si quelqu’un demeure trop longtemps dans ces bois, il finit par se perdre et meurt de fatigue. Seul les braves devaient y aller pour rapporter nourriture et l’eau nécessaire à la survie du village.
Il y a un mois, j’ai rencontré dans la forêt une fille du village. Quand elle me vit, elle fut effrayée, mais elle ne s’enfuit pas. Elle disait que j’avais les yeux rouges, et que dans le village, ça portait malheur. Elle était très forte, elle m’a dit qu’elle était la fille du chef, et qu’en secret il lui avait apprit la chasse et le combat, ce qui était interdit par le village et ses lois. Très vite nous devinrent ami, et sa peur envers moi disparut En 18 ans, je n’avais jamais vu le chef, cette fille et l’ancien étaient mes seuls contacts avec le monde. J’ai peur…et si c’était elle que je devais tuer soir, elle est si belle, elle avait de long cheveux bruns, ses yeux étaient d’un bleu clair, plus clair que le ciel pendant la saison des récoltes, elle avait un an de plus que moi, et était promise à un homme qui ne lui plaisait pas. Je comprends plus, il y a tellement de contrainte, je n’ai pas envie d’entrer dans le monde des adultes aux prix de la mort d’une femme ! Ca jamais !
Eto
« Tiens, Eto, toujours entrain d’écrire dans ton journal avec ta plume…tu devrais la changer elle est bientôt usé ! » fit l’Ancien entrant dans ma cabane.
Lorsque je le vis, je me mis à genoux et je le saluais, comme le voulais la coutume.
« Bonjour l’ancien, que l’être de lumière vous accorde santé et longévité ! » fis-je
« Merci à toi, je vois que tu utilises toujours ta plume…pourquoi ? »
« C’est…un cadeau de mes parents, le dernier souvenir qu’il me reste… »
« Et pourquoi me le dis-tu seulement aujourd’hui, pendant ces années, n’ais-je pas gagné ta confiance ? »
Je le regardais, c’était un vieil homme, il ne lui restait que quelques dents, son visage était couverts de rides, ses cheveux longs étaient tous gris clairs, voir blancs, il portait des vêtements de couleur pourpre, signe de son statut dans le village.
« Alors, j ‘attends ta réponse mon fils. » fit-il en tapant de son bâton
« Si bien sur Ancien, mais, c’était quelque chose de personnel, et je vous le dis, car je crois que je ne vais pas faire le sacrifice ce soir. Ancien, j’en ai assez, assez de me cacher, être exclus du village, tout cela parce que la déesse mère m’a fait naître ce jour maudit ! ! Et puis, pourquoi personne ne se soulève contre la chimère. Est-elle immortelle ! » fis-je presque avec un ton de colère.
« Mon fils, tu es particulier, tu as des yeux de sang, et je crois que ton destin n’est plus lié à ce village ! » fit-il en me prenant la main.
« Que…que voulez vous dire ! » Sa réponse me faisait froid dans le dos.
« Ecoute moi Eto, je vais te révéler quelque chose que seul moi et le chef du village savons : Nous vivons à une époque troublée, et ce sont les chimères qui nous gouvernent. On dit qu’autrefois, le monde était gouvernée par des cristaux, chacun d’entre eux, représentait une force de la nature, l’eau, le feu, le vent et la Terre. Avec ces cristaux, les hommes étaient arrivé à un stade formidable de leur évolution, ils avaient réussit à créer un monde de métal et de machines qui faisaient leur travail à leur place. Un jour, une poigné d’homme réussit à atteindre l’immortalité, et deux monde se créèrent : Les peuples des dragons du ciel, et les peuples des dragons de la terre.

Ceux qui étaient des dragons du ciel devaient posséder une grande sagesse pour maîtriser et commander aux cristaux, mais un jour, les peuples du dragon de la terre créèrent les chimères, des bêtes intelligentes, utilisant la magie et ensemble ils attaquèrent les peuples des dragons de la terre. Ce fut une guerre sanglante, les anciens sentant leur fin arriver tentèrent quelque chose, ils brisèrent les 4 cristaux en deux, et lorsque les peuples des dragons de la terre arrivèrent, ils utilisèrent leur pouvoir pour fusionner les morceaux avec 8 morceaux avec les chimères des peuples des dragons de la terre, perdant ainsi leur immortalité, ils furent massacrés. Mais une fois les peuples des dragons du ciel décimés, les chimères se retournèrent contre leur créateur.
« Mais pourquoi cela Ancien, cette histoire est complètement insensé ! » fis-je.
« Oui mon fils, car en fusionnant avec les moitiés de cristaux, les chimères acquirent une conscience individuelle, et furent doué de la parole. Ainsi, l’époque « dorée de l’Avant » prit fin avec le grand cataclysme. Seul quelques élus furent épargnés, et certains créèrent ce village. Mais, beaucoup voulaient oublier ce sombre passé, alors, ils créèrent une religion, peuplés d’esprits, de déesse et de démons pour survivre à ce monde hostile. Toutefois, certains refusèrent d’oublier. Car ils savaient que d’autre peuples que les hommes avaient survécus aux cataclysme des chimères, mais si les peuples le savaient, le reste de l’humanité disparaîtrait dans un élan de désespoir. Se sacrifiant inutilement

« Ancien, pourquoi me révéler tout ça…en quoi cela va m’être utile ! » fis-je.
« Si tu as l’intention de mourir ce soir, autant que tu saches la vérité sur notre monde, c’est la moindre des choses que je puisse faire, et…je me sens coupable. Coupable de ne pas avoir pu aider ton père et ta mère. J’ai fait ce que j’ai pu pour remplacer tes parents, et savoir que tu vas peut-être disparaître ce soir, me remplit de tristesse. »
Je vis des larmes couler le long des joues de l’ancien
« Ancien, vous avez réussit à jouer ce rôle, vous avez été la seule personne à me consoler lorsque j’étais triste, vous avez rie avec moi lors de mes premiers écrits, je vous appelle Ancien à cause des traditions que vous même vous m’avez appris, mais au fond de mon cœur, je vous appelle père, et je suis fière de vous appeler comme ça. » fis-je au bord des larmes.
L’Ancien qui s’était relevé, lâcha sa canne elle tomba à terre, et il me serra dans ses bras. Ce fut, la première marque d’affection qu’on me donnait, j’étais en larme, et je le serrai contre moi, aussi fort que je le pouvais.
« Fils, fait comme il te semble, ta vie a été tracée d’avance, mais ce soir, tu seras ton seul maître. De ce que je t’ai appris, de ce que tu sais en combat, sur ce monde, devrait t’aider à prendre la bonne décision. Maintenant, prépare toi, la cérémonie va bientôt commencer.

Il sortit de ma cabane. Je regardais ma main, elle tremblait légèrement. J’avais peur, je le savais, mais comment passer au-dessus, je ne savais pas. Je me retournais, et j’ouvris un coffre. Un habit rouge était à l’intérieur. C’était un présent de la fille du chef, pourtant je n’aimais pas ce vêtement, car au moment où elle me l’a remis, j’ai vu toute la tristesse dans ses yeux, ses mains tremblaient, elle aussi devait participer à la cérémonie. Mais que pouvait-elle y faire…je soupirais en enfilant ses vêtements, je me fis une petite toilette. Par réflexe, je gardais sur moi ma lance, je l’avais confectionnée moi même. Cela ne rivalisait pas avec les épées des gardes, mais je me sentais en sécurité avec elle.

J’enlevais la cape qui me servait d’entrée. Pour la première fois depuis 18 ans, des rayons de soleil passèrent par cette endroit. Tous les villageois s’arrêtèrent, et me lancèrent un regard que je voulais éviter, car ce soir, j’allais faire partie des 3 hommes qui auront pour lourde tâche de tuer, pour vivre.
Je m’assis devant l’entrée et je regardais le ciel, je ne cessais de penser à cette fille, le bleu du ciel me réconfortait, mais c’était tellement éphémère…
L’être de lumière parcourait le ciel, et déjà la déesse blanche apparaissait, orgueilleuse, énorme, et rousse. Une fois par an, elle rassemble toute sa colère, et une fois dans l’année, elle annonce les présages de la nuit, une nuit de sang. Cette idée me répugnait de plus en plus. Plus la déesse blanche montait dans le ciel, plus elle emmenait avec elle, le manteau de la nuit, avec ses milliers de sœurs, chacune plus ou moins importante pour la déesse en fonction de sa luminosité, elles étaient vraiment nombreuses

C’est alors que les tam-tam se firent entendre, annonçant le début de la cérémonie. Les torches de feu s’embrasèrent. Les hommes commencèrent à chanter d’une voix si grave que je me croyais au royaume des morts. Je pensais aux trois filles qui allaient mourir ce soir, j’en serrai mon poing gauche. Je regardais autour de moi, tout le monde nous regardait, nous les trois adolescents qui allaient passer dans l’âge des adultes. Nous arrivâmes devant l’Ancien. Je vis qu’il m’adressa un regard particulier, qui provoqua des chuchotements. Qu’est ce que cela pouvait me rendre nerveux !

Puis le silence s’installa dans le village, attendant que la déesse blanche soit le plus haut dans le ciel. Soudain, une gigantesque ombre arriva. Je devinais que c’était la chimère puisque même le chef de la tribu se mit à genoux. Il était là, à côté de l’ancien. Le seul à porter des habits blanc, signe de son autorité sur tout le village. On disait de lui qu’il était le plus téméraire.. Mais au moment de l’arrivé de la Chimère, lui, aussi bien que moi sentions cette peur au ventre.
« Je suis Valefore, Je domine les airs, je viens voir le sacrifice, et me délecter de cœurs de trois vierges ! Esclave ! Commencez la cérémonie ! »
Je sentais dans ces paroles, toute la puissance, et l’arrogance de cette créature. Je me demandais à ce moment là, à quoi elle pensait lorsqu’elle attaqua ceux qui l’avaient crée il y a de cela fort longtemps.

Les tamtams se firent plus insistants marquant le début de cette cérémonie. Valefore survola les filles concernées, puis se percha sur l’hôtel qui lui était réservé.
De son œil, il créa quelque chose, une lumière qui se dirigea vers les trois filles désignés. Elles se mirent à genoux devant nous. Et au grand malheur, je reconnu celle que je devais tuer, c’était elle, la fille du chef. J’étais en colère, comment le chef pouvait laisser sa propre fille se faire tuer par quelqu’un qui allait êtres des siens !
« OH ! ! ! GARCONS ! VOUS AVEZ ETE CHOISIS PAR LA DEESSE BLANCHE. VOUS VOUS RETROUVEZ DEVANT DEUX MONDES, CELUI DE LA VIE, ET DE LA VIE D’ADULTE , ET CELUI DE LA MORT, ET DE LA HONTE. CES DAGUES, VOUS MENERONT VERS L’UN DE SES DEUX CHEMINS ! ! » fit l’Ancien de sa voix grave et granuleuse

Je regardais de haine le chef, qui je voyais avait du mal à se retenir, voyant le destin de sa fille qui était à présent entre mes mains. Des prêtres arrivèrent devant nous, une dague sur chaque coussin, ornée de bijoux et de pierres précieuses. D’un geste synchrone nous prîmes ses dagues.
Le premier engagea la cérémonie. D’un coup, il planta le couteau dans le cœur de la jeune femme. Celle-ci ne poussa qu’un petit crie, et elle s’écroula. Le sang sortait de sa bouche, et très vite, il ouvrit le corps et extirpa le cœur, qui battait encore. Je ne pouvais regarder, je sentis mon ventre se torde, je croyais que j’allais me vider. Il déposa le cœur sur le coussin et le prêtre l’apporta à Valefore qui le mangea en quelques minutes.
Le second, ne prit pas cette pêne, avec la dague, il enfonça le couteau à côté du cœur, et fit une entaille et chercha de sa main le cœur de la jeune fille. Celle-ci hurlait, à la joie de Valefore.

« C’est bien, cet homme sera fort ! »
Tout le monde applaudissait pour sa « victoire », tous, sauf moi, qui restait là sans bouger, la dague à la main.
Ce fut à mon tour. Je le regardais dans les yeux, elle me regardait également, je devais le faire, je fis un pas en arrière pour lui asséner un coup fatal. Je levais le tête vers le ciel, et je vis quelque chose qui me surprit. La déesse blanche était entrain de rougir, je n’avais jamais vu ça, qu’est ce que cela voulait dire.

« ALORS ESCLAVE ! ! ACHEVE LA ! ! OU PREFERE TU LA MORT ? ! » me fit Valefore. Elle me dévisageait, m’incitant à faire ce que je devais faire.
C’est alors, que je me souvins d’une chanson de l’ancien qui m’avait émue lorsque j’étais petit, je ne pouvais plus me retenir. Je me reculais et sous la déesse je me mis à chanter, d’abord, tout doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à chanter en regardant fixement Valefore, je serrai de plus en plus fort ma dague, puis je criais ma chanson et je décidais enfin de jeter la dague sur Valefore, elle fut surprise et je lui crevais l’œil. Elle hurlait de douleur, tout le monde paniquait, sauf l’Ancien qui restait de marbre.
« VALEFORE ! ! ! Je renonce à tuer cette femme ! ! ! »
« Traître comme ses parents ! IL FAUT L’OFFRIR EN OFFRANDE ! ! ! » fit l’un des villageois !
« HUMAIN ! TU VAS MOURIR ! ! » fit Valefore.
Soudain, j’entendis un coup de Tonnerre, je ne comprenais pas, il n’y avait pas de nuage. Je vis le chef du village, faire rejaillir le tonnerre de cette objet étrange, les coups se répétèrent, je ne pouvais les compter. Valefore les reçu de plein fouets, cela la blessa et elle s’enfuit, mais en promettant de revenir.
« Chef , quelle est cette magie ? ! » fis-je.
« Chef, il faut le tuer, sinon, Valefore va détruire le village ! ! ! » fit de nouveau ce même villageois.
« Ecoutez tous ! Ce soir, depuis 18 ans, Eto fut le premier à se révolter, comme son père, ce que vous avez vu de ma part était de la technologie, de ses objets là ils y en avaient des milliers à une certaine époque, mais ce ne sont plus que des vestiges. Aujourd’hui, j’ai vu des garçons prendre du plaisir à tuer ces jeunes filles, uniquement pour être accepté dans le village, ce ne sont pas eux les fautifs, mais nous tous, nous qui avons exclus ces enfants depuis 18 ans. Avec ce qui vient de se passer, une décision doit être prise : Soit nous restons dans ce que nous étions, c’est à dire, des hommes qui se contentaient de survivre, soit, nous changeons, et quitte à nous battre jusqu’au dernier, au moins une personne transmettra aux générations suivantes, que notre peuple a voulu se libérer de l’emprise des chimères ! ! » fit-il en levant le bras.

C’est alors, que tous crièrent de joie, suivant la volonté du chef. Celui-ci arriva près de moi et me mit la main sur l’épaule.
« Eto, prend mon épée, et, j’aimerai que tu sois cette homme qui transmettre le souvenir de notre peuple. »
Je fus très étonné, mais je vis le regard remplie de joie de la fille du chef, et je décidai d’accepter. Je me mis à genoux : « L’Ancien, Grand Chef, j’accepte votre requête, et j’aimerai partir dès cette nuit pour explorer le monde…les chimères sont peut-être cruelles, mais, peut-être qu’un jour, les hommes se soulèveront, pour détruire ce que nous mêmes avons créer il y a de cela si longtemps. »
L’Ancien s’approcha de moi et mon confia une carte
« Elle date d’il y a très longtemps, mais peut-être t’aidera-t-elle…Adieu mon fils, car je sais que tu ne reviendras pas ici. Eto, aux yeux de feu. »
J’avais presque les larmes aux yeux. Mais c’est en cette nuit si sacrée, que je décidais d’entreprendre mon voyage. Au moment de quitter le village, j’eu une idée qui me traversa l’esprit : Un monde sans chimère, idée que j’oubliais très vite.

Cela faisait maintenant cinq jours que je marchais à travers la forêt. L’être de lumière était au plus haut, je décidais donc de faire une pause. Je m’adossais contre un arbre, et je fermais les yeux. La forêt avait changée, ce n’était plus les grosses fougères et les arbres à résines qui étaient dominants, mais des arbres à feuilles de toutes sortes, il y avait même des buissons avec des baies. L’Ancien me l’avait raconté, il m’a dit qu’un jour il était sortit du village, et était arrivé dans un endroit où la forêt n’était plus si agressive, qu’il était plus facile d’avancer dans les bois. Je me demandais si le spectacle que je voyais aujourd’hui était tellement différent de ce que lui avait vu.

Je décidais de repartir, mais il y avait quelque chose qui maintenant me préoccupait, et qu’auparavant je n’avais jamais fait attention : Pourquoi faisait-il toujours beau, pourquoi il ne pleuvait qu’à des moments précis…à présent que je devais me débrouiller par moi même, je me posais ces questions.
Je commençais à voir la fin de la forêt, et lorsque j’en sortis, le spectacle était affligeant. Le ciel était couvert, aussi noir que lorsqu’on voyait arriver le démon des eaux au village. Mais ce n’était pas ça. Je m’approchais de la terre pour la sentir. D’habitude, lorsque la terre est saine, un tas d’odeurs sortent du sol, mais là, il n’y avait qu’une seule odeur : L’odeur du feu. J’avançais péniblement, à chaque pas, on aurait dit que des milliers d’insectes se réveillaient, tous plus noir les uns que les autres. L’air me brûlait la gorge, c’est à ce moment que je réalisais combien la forêt nous avait protégée, moi et mon peuple. Bientôt, je me trouvais à quelques centimètres du sol, je commençais à voir trouble, je pensais que la déesse de la terre voulait me reprendre, et qu’elle m’avait jeté un sort pour que je meure sans souffrance.

Lorsque j’ouvris les yeux, je me trouvais dans une drôle de salle, je tournais le tête, et je vis que j’étais nu. Je voyais mes rondeurs, car j’avais toujours mangé plus que ce qu’on me donnait, mais je crois que la déesse mère, a compensé en me donnant force et raison.

Je voulais me lever, lorsque soudain, ma tête cogna contre quelque chose. De la Magie ? C’était incroyable, c’était encore plus dur que la pierre, et pourtant ce n’était même pas visible. Soudain, je vis quelque chose se poser au dessus de moi, c’était un visage, mais il était monstrueux, sa peau était noir, ses yeux avaient la couleur du sang, et de la fumée sortait de sa bouche.

« NON ! ! ! UN DEMON ! ! ! Je suis au royaume des morts ! ! ! » fis-je
Je voulais me débattre, lorsque soudain mon poing traversa cette magie, je vis du sang sortir de ma main. Une douleur me parcoura le bras, j’étais presque paralysé, je hurlais ma douleur. Tout à coup, j’entendis une voix

« Hé, calme toi, tu veux mourir ou quoi ! ! »

C’était ce démon qui me parlait, j’eu peur et je me cachais dans un coin. La chose que j’avais touché se souleva, me libérant le passage. J’étais terrifié, quel genre de magie cela pouvait être. Soudain, je vis un objet brillant à la taille de ce démon, je le reconnaissais, c’était ce même objet que le chef avait utilisé pour chasser la chimère Valefore. Je réalisais que peut-être tout ce qui m’entourait n’était pas magique, mais « technologique. » La salle était d’un blanc très marqué, et j’entendais des bruits répétés qui venait d’un objet au dessus de moi.

« Là, tu n’as rien à craindre, tu es dans une salle de repos. ».

Le démon parlait, et je le vis qu’elle enlevait sa peau, son visage m’apparaissait. C’était celui d’une femme, elle avait les cheveux encore plus noir que le terre que j’avais vu. Elle avait des yeux en forme de noisettes, et ses yeux était d’une bleu profond, comme la fille du chef. Elle s’approcha de moi et regarda au niveau de ma taille.

« Hé mon gars, t’es plutôt bien foutu, d’où est ce que tu viens, ta peau n’a pas la même pigmentation que la mienne, regarde »



Elle me prit ma main qu’elle mit contre la sienne, c’ était vraie, sa peau était si blanche, on aurait dit un mort, tandis que moi, elle était si « vivante », je ne trouvais pas d’autre terme.
Elle se tourna et me donna mes habits que j’enfilais rapidement. Je n’avais pas honte d’être nu devant un homme ou une femme, personne ne m’avait dit que c’était mal, mais l’Ancien m’avait suggéré de toujours m’habiller quelque soit le lieu.
La femme s’assit et me regarda : « D’où tu viens, tu n’es pas d’ici. Moi et mon amie t’avons trouvé à la surface, tu es sacrément résistant pour un homme, d’habitude quelqu’un qui va à la surface ne tient pas plus de 5 minutes. »

« Je…je ne comprends pas ce que tu dis… « surface », « minutes », qu’est ce que cela veut dire ? »
Ma question semblait l’étonner.

« Ben tu sais, la surface c’est là où les chimères sont. Nous, nous sommes dans la Terre, sous la terre. Et minutes, ben c’est ce qu’on appelle le temps, ce qui sert à nous dire à quel moment de la journée nous sommes. »

Je commençais à comprendre, je réalisais que j’étais devant un autre peuple que le mien. Et ils en savaient plus que moi.
« Je viens de la forêt situé au Nord de cette région. Là-bas, on n’a pas tout ce que vous avez ici, par contre, l’être de lumière nous accorde sa bénédiction tout le temps ! »

La fille se leva.
« Pas possible, des hommes vivent dans ces forêts, avec le soleil ! J’y crois pas. » fit-elle très étonnée.
« Soleil, c’est le nom que vous donné à l’astre qui brille dans le ciel ? »
« Oui, oh, là là, je suis si excitée, tu vois, j’ai 18 ans, et jamais je n’ai pu voir le soleil, comme tout le monde ici. »
« Ah, c’est à cause de la chimère ? »
« Non, nous ne dépendons pas d’une chimère, nous sommes indépendants, aucune chimère ne vient sous terre. »
Ce qu’elle venait de dire, agissait comme un feu qui me rassurait. Alors, il y existe des peuples qui vivent librement ? Sans besoin de sacrifice pour survivre.
« A quoi tu penses pour sourire ainsi ? » fit-elle.
« Là où je vivais, nous étions soumis à Valefore, mais nous nous sommes révoltés. » fis-je en remuant des mains, mais quelle est ton nom ? »
« Je m’appelle Anandes, et toi ? »
« On m’appelle Eto. »
On moment où je dis mon nom, elle prit peur.
« Que se passe t-il ? Ai-je dit ou fait quelque chose de mal ? »
« Dans notre langage Eto veut dire le destructeur. Et souvent, on donne ce nom à des gens qui ont les yeux de sang, es-tu venu ici pour nous tuer ? ! »
« Pas du tout ! On m’a donné ce nom car dans mon village, ce nom signifie « celui qui représente le milieu ».
Soudain, elle se leva.
« Serait-il possible que…attends moi ici. »

Elle sortit de la pièce, la porte s’ouvrit et se ferma toute seul. Je fus surpris, mais je me rassurais en me disant que c’était de la technologie. Je regardais autour de moi, mes armes, ma lance et mon épée était là. Je levais la tête vers le haut, l’espace était suffisant. Je décidais donc de m’entraîner. Lance en main, j’imaginais des animaux m’attaquer, c’est à ce moment là, que je le suis demandé : Que ferais-je si un jour si, au bout de cette lance se tenait un homme, aurai-je le courage de le tuer. Je n’avais pas été capable de tuer une femme, c’était une faiblesse en moi parmi tant d’autre. Je décidais de continuer, et au même moment, la porte s’ouvrit. Je reconnaissais la jeune fille, elle était avec un homme d’un certains âge, il portait quelque chose sur le visage, deux paires d’yeux, j’étais étonné.

« Salut à toi, voyageur, à ce que m’a dit ma fille, tu viendrais de la forêt au Nord ? » fit-il en s’asseyant devant moi. Sa voix était grave, plus grave encore que celle de l’Ancien, pourtant, je ne sentais rien de mauvais chez cet homme. Comme sa fille, je décidais de lui faire confiance. Pour le lui montrer, je posais au loin ma lance.

« C’est juste…double regard… » fis-je.
« Oh, oh, voilà un nom bien étrange, est ce à cause de mes lunettes ? » me fit-il en me les montrant.
« Lunette ? Vous êtes tellement étrange comparé à moi, et pourquoi vous avez la peau si blanche ? »
« Hmm, je dirai que c’est vous qui êtes étranges, que savez vous de notre monde ? »
« Je décidais de lui raconter tout ce que je savais, ma religion, mes croyances, mes compétences, le pourquoi de ma présence, et cette histoire, entre les peuples des dragons du ciel et et ceux de la Terre.
Après mon histoire, il se gratta la barbe.
« Hmm, je comprends mieux. Tu as des connaissances Eto, mais moins que nous. Vois-tu, tu es dans une ville souterraine. Nous sommes des descendants des peuples des dragons de la terre. »
Sa phrase me surpris.
« Mais je croyais que cette guerre avait, et les chimères… »

« Oui, mais nous n’avons pas tous été tués, aussi bien, il eut des survivants chez les peuples des dragons de la Terre, et également chez ceux du ciel. Il faut savoir, que nous, les peuples de la terre n’étions pas tous pour la création des chimères, et nous n’avons pas prit part à ce conflit. Et je crois savoir, que dans les peuples du ciel n’étaient pas aussi unis. Bien sur, il y avait ceux qui contrôlaient les cristaux, mais il y avait aussi les peuples de bases, qui ne faisaient que servir ces peuples qui dirigeaient les cristaux. Lors du cataclysme, les peuples des dragons du ciel partirent pour la terre, et une partie arriva dans les forêt du Nord. A cause des nuages de poussières, beaucoup moururent, car ils n’étaient pas habitués au manque de lumière. Nos éclaireurs nous ont indiqués récemment qu’une tribus avait survécu, nous n’étions pas surpris, mais nous avons choisit d’oublier, car, préservés des poussières, peu étaient assez fou pour venir jusqu’ici. C’est pour cela que ma fille fut surprise de la signification de ton nom. Car, ce nom que tu portes est un vestige des peuples des dragons du ciel. »

Son histoire était passionnante, et en même temps, étonnante. Je venais d’apprendre un peu plus sur mes origines.
« Mais, n’avez vous pas peur qu’une chimère arrive un jour ici ? »
« Pas vraiment, notre région en surface est inhospitalière à toute vie. Nous n’avons pas grand chose à craindre. » fit-il.
« Eto, veux-tu que je te fasse visitée notre ville ? » me fit Anandes.
« J’en serai honoré…mais dite moi Ancien, une dernière chose : Personne n’a jamais pensé à tuer les chimères ? »
Ma réponse le fit éclaté de rire.
« Les tuer ? Mon brave, même avec les armes que nous avons, nous n’arriverions qu’à les égratigner…non…seul… »
Il s’interrompit et commença à réfléchir.
« Anandes, je te le confie. Passez à la bibliothèque, je viens me souvenir de quelque chose. »
« Bien père. » fit-elle.
Il sortit et Anandes m’emmena avec elle, pour me faire visiter. Avec l’histoire de ce vieil homme, je commençais à croire que si des hommes de mes peuples avaient survécu, peut-être qu’ils connaissaient le moyen de les tuer. Finalement, cette idée d’une ère sans chimère ne m’avait jamais quittée depuis mon départ.

Nous avions fait le tour de la ville. Elle m’expliquait tout et parlait calmement, mais toujours avec le sourire.
Mais, bien que cette ville était agréable, à chaque fois que l’on passait devant des habitants, ils se retournaient tous, comme s’ils avaient vu l’esprit des morts. On s’assit devant ce qu’ils appelaient une fontaine.

« Alors, qu’est ce que tu penses de notre ville ? » me fit-elle.
Je la regardais. A présent elle portait un pantalon très serré de couleur noir, et portait un haut blanc qui s’arrêtait à la hauteur de sa poitrine. Elle avait un petit manteau orange foncé qui s’arrêtait à la taille.
« C’est une jolie ville, mais je trouve trop artificielle. »
« Artificielle ? » fit-elle me fronçant les sourcils.
« Dans mon village, on fabriquait une cabane, des armes pour nous défendre. Tu dis que c’est beau. Tu as raison, mais je trouve inutile une fontaine où on ne peut pas boire. Si on ne peut s’abreuver, autant ne pas la construire….et… »
Je décidais de m’arrêter, je crois qu’elle était entrain de la mettre en colère.
« Et toi, comment tu faisais pour te divertir ? Hein ? » Me fit-elle en s’approchant de mon visage
« La forêt nous donnait tout…tout ce qui nous faut…et, le soir…le ciel était étoilée, à…à ce moment là je m’évadais et…Anandes, tu peux arrêter de me fixer comme ça, j’ai l’impression que tu m’écoutes pas ! »
« C’est un peu le cas, je préfère te regarder, c’est tellement rare de voir un étranger ici, t’as du t’en rendre compte…non ? »
J’étais gênée, j’arrivais pas à m’échapper de son regard, heureusement, elle arrêta.
« Bon…on va à la bibliothèque, je crois que mon père veut te voir. »
Nous nous y rendîmes. Je levais la tête au-dessus de moi. Je voyais des centaines de « soleils » qui fournissaient la lumière à la ville, mais je comprenais que rien ne pouvait remplacer cette chaleur que je connaissais. Je regardais Anandes qui était de dos. C’était une jolie fille, et je décidais de lui faire une proposition.

« Anandes…tu sais, je ne compte pas rester ici…j’ai encore envie de voyager…et mais tout seul, cela risque d’être long et « ennuyant » comme vous dites, alors, j’aimerai savoir si tu…aimerais venir avec moi ? »
Ma proposition eut un effet sur elle, car elle s’arrêta. Elle leva la tête, regarda autour d’elle.
« Eto…ici…nous sommes à l’abris…et si on va dehors… » fit-elle la tête vers le bas en évitant de croiser mon regard. »
Au même moment, nous arrivâmes au lieu qu’elle appelait la bibliothèque, nous entrâmes. Une étrange odeur m’arriva au nez, je n’avais jamais sentit une odeur pareil, mais je m’y accommodais. En allant vers son père, je pensais à quelque chose : Cette ville est belle, mais pourra-t-elle vraiment échapper aux chimères pour l’éternité ? Les habitants de cette ville ne voudront jamais sortir et explorer le monde…cette vie leur suffit ? Je comprenais de mieux en mieux ce que eux, appelaient l’ennuie. »

« Ah…vous voilà, approchez, j’ai quelque chose à vous montrer. » Le père d’Anandes ouvrit un livre, je n’arrivais pas à lire l’écriture, elle était différente de la mienne et de celle de mon peuple.
« Si vraiment tu t’accroches à cette idée d’un monde sans chimère, peut-être devrait tu essayer de comprendre comment elles sont nées. Dans ce livre est écrit qu’au Sud de ce monde, il existe les vestiges d’une cité, peuplé par des gens de la même origine que nous. Seulement, ce peuple des dragons de la Terre est à l’origine de la création des chimères, le seul problème et que nous manquons d’informations pour que tu puisses t’y rendre.

A ce moment là, je pensais alors à la carte que m’avait donné l’Ancien et le Chef du village lors de mon départ. Je la sortis de ma petit sacoche que je gardais toujours auprès de moi.
Le père d’Anandes écarquilla les yeux
« Oh….quel trésor ! Une carte de l’Ancien Monde, c’est incroyable. Eto, ce que tu possèdes est une véritable Relique. Alors voyons...ah, ici. Alors, selon l' échelle de la carte, il te faudra cinq jours pour y arriver….mais vraiment quel merveille. Eto, puis-je garder cette carte pendant une journée ? »

« Bien sûr, je compte pas partir tout de suite. »
Cette nouvelle semblait réjouir Anandes.
Soudain, un bruit strident me perça les oreilles, par réflexe je prie ma lance.
« Qu’est ce que c’est père ! » fit Anandes.
« Oh…cela fait une éternité qu’elle n’a pas retentit, c’est le signe qu’une chimère approche de la ville ! »
« Une chimère ! ! ! Mais pourquoi ? ! » fit-elle effrayée.

Un homme arriva en courant, épuisé et blessée.
« Maître ! C’est très grave, une chimère a percé le dôme, elle dit qu’elle se nomme Valefore et qu’elle vient pour l’étranger. Si on ne lui livre pas, elle détruira toute le ville ! »
« Oh Mon Dieu…. » fit le père d’Anandes.
Une colère montait en moi, la chimère m’avait suivit et avait su résister à la poussière qui avait faillit m’ôter la vie. Et maintenant, elle va s’en prendre à la ville.
« J’y vais ! ! » fis-je.
Anandes me retint par le bras : « Tu es fou, elle va te massacrer ! Et il risque d’y avoir des morts ! »
Elle avait raison. C’est alors qu’il me vint une idée.
« Père d’Anandes, vos peaux qui vous servent à vous protéger à l’extérieur sont-elles bonnes ? »
« Heu…si on fait des efforts, le masque ne tiendra que peu de temps… » fit-il.
« Parfait. Même les chimères auront du mal à tenir dehors, on va l’affaiblir, puisque vous avez dit qu’on ne peut pas la tuer ! »
« Attend… »
Le père d’Anandes ouvrit son manteau et il me donna une lance, elle brillait comme l’être de lumière. »
« Cette lance est magique, elle brille lorsqu’une chimère est proche et de plus, elle est incroyablement solide. J’espère que cela t’aidera. »
Je la pris avec honneur. Avant de quitter la bibliothèque, je me retournais une dernière fois.
« Puis-je connaître votre nom ? »
« On m’appelle Thor, maintenant dépêche toi ! Anandes, va préparer l’escalator de première classe. »
« Mais…cela fait une éternité qu’il n’a pas fonctionné ! »
« On doit sauver cette ville ! Va ma fille ! Va ! ! »

Je me dirigeais vers la Chimère, mais je pouvais déjà voir que ses blessures que le Chef du village lui avait causé n’était pas complètement cicatrisé. Si seulement j’avais ces armes à disposition !
« VALEFORE ! ! ! C’est moi que tu cherches ! ! ! ! »
« AH ! ! ! TE VOILA ! ! ! JE VAIS M’OCCUPER DE CELUI QUI ME FIT PERDRE UN ŒIL, ET APRES TOI, JE MANGERAI TOUS HABITANTS DE CETTE VILLE ! ! ! »
Sa voix était chargée de colère et de haine.
Il commença à battre des ailes et commençait à créer un vent infernale. J’arrivais à peine à tenir debout ! ! »
Il déclencha son laser, son rayon me blessa à l’épaule gauche. Et le sol avait été percée. Je comprenais à présent pourquoi personne n’avait jamais osé les défier. Mais il n’étais pas question de m’enfuir
Je me relevais, elle était prête à m’achever, lorsque soudain j’entendis une voix.
« ETO ! ! ! L’ELEVATEUR EST PRËT ! ! ! ! »
C’était Anandes, sa voix était comme une lueur dans le noir, je décidais de lui faire confiance malgré que je comprenais pas ce qu’était un élévateur.
Je me levais et je courus aussi vite que je pouvais, la chimère était à mes trousses prêt à me dévorer.
Je voyais Anandes, et cela me donna un regain de force. Je vis l’entrée, cela devait être ça l’élévateur ! Je décidais de me stopper. Je ne bougeais plus, la chimère fonçait vers moi prête à me tuer. Je repensais à une scène de chasse, j’avais été bloqué par un animal beaucoup plus fort que moi, au dernier moment je m’étais écarté et le bête emportée par sa coursé fonça dans l’arbre et restait sonnée. Peut-être que cela pouvait marcher !

Au dernier moment je m’écartais et c’est ce qui se produit, la chimère entra directement dans la pièce, mais elle avait eut le temps de me percer le ventre avec l’une de ses serres.
« KYA ! ! ! ! kof, kof, kof. »
Je mis ma main devant le bouche, je sentis et vis du sang en sortir. C’était pas bon.
«A…Anandes…emmène moi à la surface…je dois…la faire partir ! ! ! »
« Mais…tu es blessé, si tu montes, les poussières toxiques vont entrer dans ton corps et tu risques de mourir ! »
« J’enfilais la peau sur ma tête, cela sentait mauvais, mais étrangement, je voyais très bien.
« S’il te plait…tout ce qui arriva est ma faute…je t’en prie ! »
Elle ne répondit rien et m’emmena à la surface. Elle appuya sur quelque chose, et soudain ma vision devint rouge. Je ne vis qu’une ombre au-dessus de moi, c’était la chimère. Elle était mal en point. L’œil que je lui avait crevé saignait et je voyais les toxines entrer à l’intérieur !

« MAUDIT VERS DE TERRE ! ! JE VAIS TE TUER ! ! ! »
je la voyais qui avait du mal à voler, et je me souvins de mon arrivé ici. Les poussières étaient encore plus importante près du sol. Je devais trouver un moyen de la plaquer au sol. Ses ailes provoquait des tourbillons incroyable, et malgré ma peau je me sentais comme dévorer par un animaL.
Elle monta très haut dans le ciel, et se laissa tombé, bec en avant pour me transpercer.
Je faisais encore confiance à mon corps et je la laissait fondre sur moi. Soudain, au dernier moment, je m’enlevais de sa cible, et la chimère n’avait plus assez de force pour se dégager, elle fonçait vers le sol, lorsqu’elle l’atteignit, tous les alentours tremblait. Ma vue se troublait de plus en plus, mais je me ressaisis et je sautais sur le coup de la chimère, et d’un coup, je lui enfonçais ma lance dans le crâne.
Elle poussa un crie qui faillit me rendre sourd, c’était à peine supportable. Une douleur atroce me parcourut le corps, mais elle bougeait encore. Prenant mes dernières forces, je prie mon épée, et je lui assainis des dizaines de coup sur le crane. Son sang giclait de partout, j’en fus recouvert sur tout le corps. J’étais à peine éveillé. La seule idée que j’avais : la tuer la tuer la tuer.
Soudain, mon corps tomba à terre, je ne sentais plus rien, je n’avais plus de sensation, tout devint noir.


Création - posté le 22/08/2007 à 17:41:59 (1423 messages postés)

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une pinoutche vaut mieux que deux tu l'auras

Peut-être pourrais-tu proposer un fichier à télécharger.

Je doute que la plupart des membres lise tout le message sur le forum.

Si on peut télécharger, on peut lire quand on veut, c'est mieux.;)

Custom 4 Life


Diamonds - posté le 22/08/2007 à 19:11:10 (2420 messages postés)

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J'ai commencé à lire (coupé par le repas, les nerfs :grah2, mais me revoilà ! :grossourire).

J'aime beaucoup (j'en suis au passage où Eto va partir du village, après avoir refuser le sacrifice de Valefore).

Valefore, d'ailleur, faut l'imaginer comme dans FF X ? (j'ai un peu été dérangé pendant sa description et je retrouve plus le passage ^^).

Sinon, quelques fautes de frappe, bien sûr, pas très grâve pour la plupart, mais certaines empêche légèrement la compréhension, faudra les retrouver...

Bon, sinon je vais continuer de lire ça dès que je le pourrais (oui, il n'y a pas que le repas qui me dérange :D), bonne continuation.

Games and Headphones // Portfolio


Thibault de Mondidier - posté le 22/08/2007 à 21:11:35 (14 messages postés)

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C'est un chapitre test pour voir si cela intéresse du monde. après les post seront plus cours. Dsl pour les nons fans de lecture.


Monos - posté le 23/08/2007 à 07:25:17 (57322 messages postés)

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Vive le homebrew

Même pour un test. Le conseille c'est de placer cela dans word/works ou un truc agréable à lire. Et de nous donner un lien.

Sachant que c'est un nouvelle, j'ai pas envie de lire cela sur un forum.;)

Signer du nez ?


Thibault de Mondidier - posté le 28/08/2007 à 18:22:25 (14 messages postés)

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Chapitre 2 : Amitiés naissantes

J’avais beau faire, tout restait noir autour de moi, j’étais entouré par les ténèbres. Des images défilaient devant moi, je me voyais, assénant des coups à la chimère, elle et moi dévorés par ces poussières toxiques. Tout à coup, je commençais à entendre une voix. Je l’entendais à peine, puis je sentais qu’elle se rapprochait de moi, de plus en plus. Je reconnus cette voix : C’était Anandes, elle m’appelait. Je décidais de la suivre, tout à coup, une lumière encore plus forte que celui de l’être de lumière apparut, m’éblouissant. Tout devint blanc. Je réalisais que j’avais repris conscience. Je tournais la tête, mais une douleur m’arrêta. Je vis Anandes qui était prêt de moi, elle dormait. Je ne cessais de la regarder : Combien de temps j’ai été inconscient ? Qu’est devenu la Chimère ? Avais-je réussi à la tuer ? Toutes ces questions qui me venaient à l’esprit….
Au même moment Anandes ouvrit les yeux, me regardant, elle sourit :

« Enfin, tu es réveillé. Comment te sens-tu ? » fit-elle en se rapprochant de moi.
« Ca…ca va…mais j’ai mal partout ! » fis-je péniblement.
« Un peu normal, tu as été gravement blessé par la chimère, sans compté la dose de toxine que tu as reçu par les poussières, c’est un miracle que tu sois encore en vie ! »fit-elle en remuant ses bras.
« C’est vrai…pourquoi je suis encore en vie ? »
« C’est grâce à la chimère… » fit une voix.
Il s’approcha de moi, et je reconnu Thor, le père d’Anandes.
« Que…que voulez vous dire ? » fis-je
« Il prit un objet, et il s’assit dessus : lorsque nous sommes montés à la surface, nous n’entendions plus le bruit des combats, nous vîmes un spectacle incroyable : Tu étais là, sur la tête de chimère, inconscient. Mais la chimère, bien que gravement blessée était encore en vie. C’est alors, qu’elle commença à briller, la lumière était tellement forte que nous nous croyions aveugles. C’est alors que l’un d’entre nous, enleva son masque. Nous le croyions fou, mais un autre en fit de même, puis je suivais le mouvement. C’est alors, qu’au-dessus de nous, la chimère se tordait de douleur, jusqu’à ce que quelque chose sorte de son corps. Je pu le voir et je n’en croyais pas mes yeux. C’était la moitié d’un cristal. Son pouvoir semblait se réveiller. C’est alors qu’une immense tornade se créa, les autres prirent peur, mais je voulais croire qu’elle était magique. Et en effet, la tornade sembla nous épargner, la chimère également. Et nous tombâmes à genoux. Le soleil perçait enfin, et les premiers rayons de soleil touchèrent un sol qui n’en n’avait pas vu depuis des siècles. Nous étions remplis d’un sentiment qui nous dépassait, les paroles étaient devenu inutile… »

Bien que je ne comprenais pas tout, je vis des larmes de joie couler le long de son visage, et j’arrivais à comprendre la joie qu’il ressentait.
« C’est grâce à ce cristal que je suis encore…vivant ? » fis-je en les regardant.
« Aussi incroyable que cela puisse paraître, le cristal semble avoir absorbé les toxines à toi et à la chimère.. »
J’eu une frayeur.
« Mais alors…elle est toujours vivante ! ! ! »
Je tentais de me lever, songeant déjà à me battre, mais la douleur me paralysait.
« Eto…calme toi. Je vais te raconter la suite.
Lorsque le cristal cessa de briller, il redescendit au sol, c’est alors que nous entendîmes une voix qui provenait de l’intérieur du cristal. Bien qu’avec la peur au ventre, nous ne nous voulions pas déguerpir . La voix du cristal disait qu’il fallait remercier ce jeune homme qui avait vaincu la chimère. Elle disait qu’il était libre, mais que le cristal n’étais pas complet, il lui manquait l’autre moitié pour reformer le cristal du vent. C’est alors qu’Anandes nous rejoint. A sa présence, le cristal se remit à briller. Il nous raconta alors une histoire : Lors de la grande guerre qui opposa les peuples du dragons du ciel et ceux de la terre, les 4 commandeurs des cristaux étaient appelé des Invokeurs, seul ces 4 personnes pouvaient commander aux cristaux, et il disait qu’Anandes n’était rien d’autre que la réincarnation de l’Invokeur du cristal de l’air. Nous étions surpris, il nous expliqua que les derniers survivants des peuples des dragons du ciel abandonnèrent la cité du ciel : Babélia. Il disait que si un jour le monde devait renaître, les 4 cristaux réunifiés devraient être ramenés à Babélia par les réincarnations des Invokeur…c’est alors que le Cristal se fondit en ma fille. La chimère se posa à terre et à la surprise générale, se mit aux ordres d’Anandes, lui jurant fidélité jusqu’à ce qu’elle meurt.

J’étais complètement abasourdi par cette histoire. Anandes, une Invokeur contrôlant la chimère qui avait terrorisé mon village pendant des cycles et des cycles de l’être de lumière.
« Eto…pourras-tu participer à la fête dans deux jours ? C’est grâce à toi que notre ville va renaître ! » me fit Anandes en me prenant la main.
« Je…j’en serai ravis… aie… » fis-je péniblement.
Les jours passèrent, mes blessures se refermaient et j’étais à présent libre de mes mouvements. Je pu enfin sortir de cette pièce. Je n’aimais pas trop les endroits confinés. Depuis que je suis petit, j’ai toujours eu besoin d’espace, les endroits clos ne m’attiraient donc guère. Je décidais de faire une promenade dans la ville. Je repérais les magasins qui pouvaient me servir pour la nourriture et les armes. L’atmosphère de la ville avait changée. Je ne sentais plus cet air pesant, les gens que je rencontrais avait le sourire. L’une d’entre elle m’a arrêté et m’a dit.

« J’espère que vous allez resté, vous faites partis de cette ville maintenant ! »
J’étais très touché, mais Anandes, qu’allait-elle devenir ? Maintenant qu’elle connaît son passé j’espérais qu’elle allait venir avec moi. En réalité, lorsque je lui avais demandé la première fois, bien qu’elle refusait, je pouvais voir une flemme dans ses yeux, celui d’une fille qui voulait se libérer de ses chaînes, tout comme moi lorsque Valefore nous tyrannisait.

Tout en marchant, je me rendis compte que je me dirigeais vers la fontaine. Lorsque j’étais devant, je me regardais dans l’eau. Mon visage se reflétait sur la surface. Je plongea mes mains dedans. Elle était fraîche, s’était une sensation bien agréable.
C’est alors que je pensais à mon journal. Je le sortis, et je décidais d’écrire mes aventures que j’avais vécu. Je dessinais aussi le visage d’Anandes, pour garder un souvenir d’elle. Je voulais retenir tout ce que je voyais.
« SALUT ETO ! ! ! ! ! »
je fus surpris, j’en perdis l’équilibre et je tomba dans la fontaine, sauvant de justesse ma plume et mon journal.
« ANANDES ! ! ! Tu m’as fait peur ! ! » fis-je.
J’allais l’engueuler, mais je la voyais rire, elle était tellement heureuse. En y réfléchissant, c’était la première fois que je voyais quelqu’un d’aussi joyeux. Un sourire comme le sien, c’était vraiment la première fois que j’en voyais un.

« Hi, hi, pardon Eto. Qu’est ce que tu faisais ? » fit-elle en m’aidant à sortir de la fontaine.
« J’écrivais mon histoire, celle que j’ai vécu depuis que je suis arrivé ici. »
« Je peux voir ? » fit-elle.
« Bien sur. »
Elle s’assit à mes côté pendant que j’essorais mes vêtements. Elle feuilletait doucement les pages.
« Tu es un bon dessinateur… » fit-elle.
« Merci. »
« Alors ça….c’est ton monde ? »
« Oui. »
« Et elle, qui est ce ? »
Je regardais et je vis un portrait nue de la fille du chef de mon ancien village.
« C’était une amie, elle a failli mourir à cause de moi. » fis-je en soupirant.
« Comment ça ? » fit-elle d’un air interrogateur.

Je lui raconta alors mon histoire sur les traditions de mon village.
« Tu sais…je crois que je t’envie. » fit-elle.
« Pourquoi cela ? »
« Ta conception du monde, elle est magique, ce que ton peuple n’a pas comprit, il l’appelait par des noms d’Esprits, de Dieu….Ici, on sait comment notre monde fonctionne à cause de technologies très poussée. Il n’y avait pas de place pour tes concepts, ici, personne n’a jamais vu le soleil, mais tout le monde sait ce qu’il est, ce qu’il sera dans un futur lointain. Et toi, tu abordes le monde avec tant de simplicité que j’en suis presque jalouse…il y a quelques jours, notre vie était réglée au jour le jour. Et maintenant, grâce à ton combat, un autre avenir s’offre à nous. Et…j’avoue que je suis effrayé. » fit-elle en me regardant droit dans les yeux.
« Quand je suis arrivé ici, tu as employé un terme : Ennuie. C’est une chose que je ne connais pas. Au cours de ma petite existence, jamais je ne me suis « ennuyé », il y a toujours quelque chose à faire, à voir, à imaginer….si tu t’ennuies tant que ça, viens avec moi, je te promets que même si c’est dangereux, tu ne connaîtras pas l’ennuie. »

J’attendais sa réponse, elle me regardait, cherchant les mots que j’espérais.
Tout à coup, nous entendîmes une voix.
« ANANDES ! ! ! ETO ! ! ! VOUS VENEZ LA FETE VA COMMENCER ! ! ! » fit Thor
Anandes se leva et partis. Evitant ainsi de répondre à ma proposition. Mais, je ne lui en voulais pas, c’était normal comme réaction. Je pensais au cas d’Anandes, je le comparais à celui d’un papillon. Avoir le choix entre rester dans son cocon, protégé et au chaud, et changer, au risque d’être tué. Bien que moins fort, Anandes devait à présent faire un choix.
Je me mis en route, la suivant de loin et me rendant à la fête. Toute la ville s’y était préparée. Je suivais Anandes de loin. Je n’avais jamais vu autant de monde. Et c’est à ce moment que je réalisais à quel point la population de mon village était dérisoire comparé à cette ville. A mon grand étonnement, tout le monde s’écartait à mon passage. Je rejoins l’estrade et tout à coup j’entendis la voix de Thor qui venait de partout. J’eu une frayeur, mais je compris que c’était encore de la technologie. Ma réaction fit rire une petite fille.


Thibault de Mondidier - posté le 29/08/2007 à 09:55:45 (14 messages postés)

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y en aura jamais, c'est un roman que j'écris, pas un projet jeu vidéo. Et pour moi Eto c'est un clin d'oeil au personnage d'Eto dans chronique de la guerre de Lodoss.

Faut réviser vos classiques. Un clin d'oeil footbalisitique dans un héroïc fantasy, l'horreur.


Kon - posté le 29/08/2007 à 10:19:02 (3982 messages postés)

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+1,
Si il le met dans vos créations, c'est que c'est une nouvelle écrite vu la taille du truc :o


Thibault de Mondidier - posté le 29/08/2007 à 17:46:10 (14 messages postés)

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soupir...alors à quoi ça sert de créer les sections....pour une fois que je prends le temps d'aller dans la bonne section...alors peut-être que je dois le marquer noir sur blanc.


RPG Maker

Projets en cours
Commentez ici ces projets à la présentation claire et complète.

Bon ok je dois pas aller ici.


Je vais aller un peu plus loin.


Au-delà...

Vos créations
Pour présenter vos oeuvres - dessins, peintures, musique, écrits... Etc.


Oh magnifique je vois une section où je peux mettre mes écrits, c'est écrit en grand....


Bon si c'est pour me dire à quand les premiers screens, lachez moi. Il n'y en aura jamais. J'ECRIS un roman et JE NE FAIS PAS un jeu.




Diamonds - posté le 29/08/2007 à 18:25:09 (2420 messages postés)

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Ba, fais pas attention à Nemau, il est gentil, au fond...

Pour les écrits j'aime beaucoup le peu que j'ai eu le temps de lire (mais je lirais le reste, promis ^^), tu pourrais te créer ton propre univers, en remplaçant Valefore et autre (sauf si tu tiens à adresser ces noms par hommage).

Bonne continuation :)

Games and Headphones // Portfolio


Ankh - posté le 29/08/2007 à 19:23:31 (32 messages postés)

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Mais pourquoi l'avoir débannis ? é_è

Sinon, au niveau de la forme c'est sympa à lire, malgré quelques répétitions par moment. Après, j'ai pas tout lu. Par contre sur le fond, j'avous que j'adhère pas des masses, je trouve ça super cliché avec les cristaux et tout et tout, le cristal qui sort de la chimère avec une voix qui en sort, c'est pas ma tasse de thé.
Mais ça reste relativement agréable à lire. =)


Thibault de Mondidier - posté le 29/08/2007 à 20:25:54 (14 messages postés)

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Ben merci Ankh pour la critique. Ce n'est pas ta tasse de thé, ben tu m'en vois désolé. Merci quant même d'avoir lu, ne serait ce qu'un peu.



volaille - posté le 29/08/2007 à 20:54:10 (918 messages postés)

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une grose volaille bien grasse pour thanksgiving !

ca m'as l'aire bien mais j'ai une question : ne prefere tu pas que tes d'hypothétiques joueurs découvrent les scenar au fur et a mesure ?

sans quoi le je sera sans surprise sur ce point la ... ca serais dommage ...


toujour est il qu'il y a du boulot deriere et un boulot qui me semble bien fait

bonne continuation ^^

http://ragnarok.tales.free.fr/index.html


Thibault de Mondidier - posté le 30/08/2007 à 10:24:06 (14 messages postés)

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bon je fais quoi, je m'arrache les cheveux où je m'ouvre les veines.

Pour la enième fois, JE NE FAIS PAS UN JEU MAIS UN ROMAN. vous savez le truc qu'on voit parfois dans les magazins et qui s'appellent UN LIVRE.

C'est désespérant. Mais merci quant même la critique volaille.


scrapi - posté le 30/08/2007 à 11:39:27 (0 messages postés)

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Citation:

Pour la enième fois, JE NE FAIS PAS UN JEU MAIS UN ROMAN. vous savez le truc qu'on voit parfois dans les magazins et qui s'appellent UN LIVRE.



Perso je trouve plus les romans dans les bibliothèque, fanc et autre libraires, mais t'es un aristo p'tet que les aristo ont des méga magazines avec des romans dedans (mais alors ils les mettent où les pubs pour le shampooing ?!?).

Sinon, c'est laid et pas gai à lire, et en plus il est écrit Final fantasy dedans. Sinon ca aurait pu être sympatoche.


Sowatt - posté le 30/08/2007 à 11:48:23 (837 messages postés)

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Il a dit magazin, pas magazine scrapi ;)


Azrael - posté le 30/08/2007 à 12:14:34 (11194 messages postés)

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On dit "magasin", surtout.
Retour au sujet, please.

Le cyclisme c'est quand tu fais du vélo.


scrapi - posté le 30/08/2007 à 15:31:03 (0 messages postés)

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Citation:

l a dit magazin, pas magazine scrapi


Jacques à dit "ta gueule"... -> ironie so fuckin'what


Florent - posté le 30/08/2007 à 17:26:21 (3153 messages postés)

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C'est tout à fait etonnant que certains soient incapables de percevoir l'humour.


Maintenant moderons un peu, tous nouveaux messages n'ayant pas rapport avec une critique de l'écrit de Thibault de Mondidier seront supprimés.




Thibault de Mondidier - posté le 03/09/2007 à 11:53:17 (14 messages postés)

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« Tu ne connais pas ça monsieur ? T’es bizarre ! »
Oui, je l’étais. Moi et mon peuple étions vraiment loin de ce peuple, et pourtant, nous sommes tout deux de la même origine. Je décidais maintenant d’écouter la voix de thor.
« ….j’aimerai maintenant que vous accueillez notre héros, ETO ! ! ! ! » fit-il en levant les bras.
Visiblement j’étais demandé. Je rejoins Thor et il me mit un objet, qui visiblement avait servit à rendre sa voix. J’étais très intimidé, mon cœur battait fort, j’avais la main droite qui tremblait.
« Heu…je… »
Je pris une grande inspiration et je décidais de parler fermement.

« Mon arrivée dans cette ville a été le fruit du hasard. Toujours est-il que j’ai découvert l’histoire d’un peuple, votre histoire. Vous…êtes tellement plus avancée que nous…et pourtant vous connaissez un sentiment que je n’ai jamais ressentit : l’ennuie. J’ai alors cherché à vous comprendre, comment on pouvait ne pas savoir quoi faire dans une ville telle que la votre. Mais…je crois qu’à partir de ce jour, ce sentiment disparaîtra En quittant mon village, une idée a traversé mon esprit :Un monde sans chimère. Aujourd’hui, je crois en ce rêve…et j’espère que vous y croirez vous aussi. »
Je les regardais tous, ils attendaient que je continue mon discours..
« Dans mon village, lorsque c’était un jour de fête, on jouait des mélodies avec des instruments confectionnés avec le bois des arbres de la forêt. Nous n’aimons pas chanter, car lorsque quelqu’un veut tenter d’exprimer ce qu’il a au plus profond de soit, le langage n’arrive pas à rendre l’exactitude de ce sentiment. Aussi, j’aimerai vous jouer un morceau. »

Je sortis ma flûte de pan et décidais de jouer un air très doux que m’avait appris l’Ancien. A peine les premières notes jouées que les gens se mirent à chanter avec moi. Je n’en revenais pas qu’ils connaissaient cette mélodie, je regardais Thor tout en jouant, lui aussi chantait, il avait les larmes aux yeux.
Je me tournais vers la scène et soudain, je vis Anandes arrivé sur scène. Elle se mit à chanter et le public s’arrêta. Sa voix était enchanteresse. Je m’étais trompé, elle, arrivait à sortir tous ce qu’elle ressentait. Sa voix exprimait la joie d’une libération, mais également une certaine mélancolie. C’était là les sentiments de cette chanson.
Ma chanson se termina. Le silence ne s’était pas rompu. C’est alors qu’une chanson me vint à l’esprit, je voulais me sentir heureux avant mon voyage.

Je repris ma flûte. Et cette fois, un air très enjoué se fit entendre. Je donnais le rythme avec mes pieds. Les gens étaient étonnés, la fille qui m’avait interpellé commençait à taper des mains. Elle avait un sourire qui me donnait une joie au cœur. D’autres personnes la suivirent. Bientôt toute la ville résonnait. Anandes dansait à côté de moi, cette fille m’impressionnait. Sa danse était remplie de grâce, chaque mouvement était synchrone avec ma musique. Je me disais, que son ancêtre, l’Invokeur devait être pareil à elle. Soudain, un flash se produit. La chimère apparue. Tout le monde s’arrêta de taper des mains. Sauf moi et Anandes qui continuons à jouer. La chimère était comme hypnotisé et elle fit battre ses ailes, de petites étincelles apparurent. C’était beau. C’est à ce moment, que je compris, et Anandes également que les chimères étaient à l’image des hommes : A la fois, un être de bonté, ou un démon prêt à donné la mort à sa seule présence..
La fête continuait à battre son plein. Au bout d’un moment, je décidais de me mettre à l’écart. Et encore une fois, je me retrouvais devant cette fontaine.
Je m’adossa contre. Et je pensais à ce que pouvait devenir l’Ancien dans son village. Mes yeux regardaient vers le sol et je vis des pieds s’approcher de moi.
Je relevais la tête :
« Anandes ? Tu n’es pas à la fête ? » fis-je avec étonnement.
« Comme toi, je voulais m’isoler. »

Elle s’assit à côté de moi.
« Tu es une très bonne danseuse et chanteuse, c’est qui, qui te l’a appris ? » fis en me tournant vers elle.
« Ma mère… » fit-elle.
J’entendis sa façon de prononcer le mot « mère », et je décidais de ne pas insister sur le sujet.
« Ta chanson…m’a libérée…Eto…J’ai grandit dans cette ville et je ne connais rien du monde. Pourtant, toutes les personnes dans cette ville…on aurait dit qu’il leur manquait quelque chose…c’était des hommes….et d’un autre côté…on aurait dit des animaux ne vivant pas, se contentant de survivre. J’étais pareil qu’eux. Et…lorsque tu es arrivé…j’ai été heureuse, heureuse de voir enfin un humain tentant de se libérer de ses chaînes. Nous ne t’avons que soigné…et pourtant, tu as défendu cette ville sans te poser de question. A ce moment là, je me suis dit que…je voulais devenir vraiment humaine. Pouvoir un jour voir un ciel, un pré, la mer autre part que dans des livres. Alors…J’accepte de venir avec toi. »

je fus surpris de ce qu’elle pensait, mais j’ étais heureux pour elle et pour son choix.
« Est ce vraiment là ton choix ? » fit Thor qui s’approchait de nous.
Anandes se leva et regarda son père, elle lui sourit : « Oui père, je veux quitter cette ville et voyager.
Son père la pris dans ses bras, et moi, je baissais les yeux. J’enviais Anandes, car moi, jamais j’ai connu, ni ne connaîtrai la chaleur d’une mère ou d’un père. L’Ancien était ma seule famille, et je l’avais quitté. Je décidais de me lever et de partir, les laissant seul. Je venais de faire quelques pas, quant j’entendis Anandes m’appeler. Mais
Je ne me retournais pas. J’avais honte…je pleurais. Je commençais à courir, j’étais vraiment mal à l’aise. Je décidais de monter à la surface. Lorsque j’y arriva, je m’aperçu que le ciel était dégagé, et que le sol n’était rien d’autre qu’une Terre craquelée qui découvrait enfin les rayons de la déesse blanche. Je m’étendais sur le sol, et je la regardais, cette déesse blanche. Son éclat était réconfortant, car il me rappelait mon village. C’est alors que je commençais à m’endormir.

Une voix me réveilla. J’ouvrais les yeux, j’avais du mal, la force de l’être de lumière m’en empêchait, je ne voyais qu’une silhouette.
« Eto ? Est ce que tout va bien ? »
Je reconnu la voix d’Anandes, je levais à présent mon corps, me retrouvant assis.
« Que s’est-il passé hier soir ? Tu es partis précipitamment. »
« Rien, je ne supportais plus d’être sous terre, j’avais besoin de respirer. »
« Ah…nous pouvons donc partir. »
Je fis un signe oui de la tête et me levait.
« Tiens » me fit-elle en me tendant la carte.
« Ah…la carte, ton père a eu le temps de faire les recherches qu’il souhaitait ? » fis-je en la prenant dans la main.
« Oui, il nous a suggéré de compléter mon cristal, pour que le pouvoir du vent soit complet ainsi il nous conseille le Sud. » fit-elle en désignant la carte.
Je l’ouvris et je vis que le Sud désignait les montagnes. Je cherchais des yeux un nom, et je vis : Trafalgar.
« Bien, alors on va en direction du village de Trafalgar, en espérant que ce village soit encore là. » fit Anandes.
« A vos ordres, madame ! » fis-je en m’inclinant.
Elle sourit.
C’est ainsi que pendant 4 jours, nous marchâmes plein sud. Les montres étaient nombreux, mais c’était une excellente occasion de nous entraîner. Je découvris les talents d’Anandes pour le combat. Elle était une bonne combattante. Elle utilisait des objet appelé « Bombes » qui produisaient de grandes explosions. Elle arrivait également à voler sur le corps de certaines bêtes des objets dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Lors d’ennemis coriaces, nous nous synchronisions pour appeler Valefore. Moi à la musique et elle à la danse. Mais le voyage s’éternisait, et nous arrivâmes devant une zone de « sable ». Anandes appelait ça « le désert. »
Nous avons marché vers le Sud, et nous tombons sur un désert, pourtant les montages se dressaient au lointain nous indiquant la proximité de notre destination !
« Comment allons nous faire Eto ? Si on entre dans ce lieu, on risque de manquer d’eau ! » fit Anandes avec juste raison.
Je réfléchissais dans mon coin, et tout à coup, Anandes eut une idée.
« Et si on utilisait Valefore pour nous emmener jusqu’au Montagne ? »
L’idée semblait intéressante. Mais déjà, j’avais du mal à supporter l’être de lumière. Jamais je n’avais du supporter une telle chaleur. Mais je ne me plaignais pas, car Anandes devait en pâtir plus que moi. Sa peau blanche n’était vraiment adaptée à la lumière de l’être de lumière. Toutefois, nous invoquâmes Valefore. Lui expliquant notre situation.
La chimère accepta, mais comme nous étions deux, elle demandait nos réserves d’eau. Nous lui cédâmes sachant bien qu’elle était notre unique espoir. Nous grimpâmes sur son dos. Et avec une vitesse surprenante, nous nous élevions dans les cieux. J’avais le cœur qui battait très vite. Je n’aimais pas beaucoup les hauteurs, et Anandes était dans le même état que moi, car je sentais ses mains s’agripper à moi avec insistance. Nous avancions très vite, lorsque la Chimère nous parla.
« Je sens une odeur de Sang ! »
« Hein ? Comment ça, dans ce désert ? »
Tout à coup, se dressait au loin une forme trouble. Puis en nous rapprochant, nous vîmes de la verdure en plein milieu dans le désert.
« Oh ! ! ! Une Oasis ! Valefore ! Arrête toi là ! »
Elle s’exécuta.
Arrivée au sol nous partîmes vers la réserve d’eau. Nous avons bu jusqu’à satiété, et profitions de cette aubaine pour remplir nos gourde. C’est alors, qu’Anandes se leva et me regarda.


Gaetz - posté le 03/09/2007 à 13:48:37 (2377 messages postés)

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...passe...

Bon, j'ai un peu de temps devant moi, et j'vais essayer de t'aider Thibault. Il y a trop de fautes pour que je les corrige toutes, j'ai tout de même signalées celles qui me choquaient. Tu devrais relire en faisant particulièrement gaffe à la grammaire : une grande part de la complexité du français (et donc du style) réside dans le système de renvoi des mots - par pronoms et conjonctions le plus souvent.

(Par contre, pourquoi appeler ca FF Ashura ?)



Commentaires sur le premier chapitre.

Premier paragraphe chouette, raconter le sacrifice et dire que c'est le narrateur qui doit le faire rend bien.

En conséquent, il m’a toujours mit à l’écart du village pour que je ne me familiarise avec personne.
- "Par conséquent" ou "En conséquence". "miS à l'écart". Et je pense qu'un passif conviendrait mieux dans cette phrase : "j'avais toujours été mis à l'ecart".

"Je ne sais pourquoi l’ancien me raconta cela, mais il n’en fit jamais allusion, et ce soir, je vais devoir faire le sacrifice, bien que je n’en n’aie pas envie."
- phrase bizarre, "faire allusion" ne convient pas. "me raconta cela" serait plus correct au plus-que-parfait : m'avait raconté cela.


(Background : quelles sont les valeurs qui poussent le père à refuser ce sacrifice ? Si il est perpétué depuis tout ce temps, les gens devraient y être habitués. De même, pourquoi le héros trouve ca inhumain alors qu'il ne connait pas la vérité sur le monde ? Parce qu'il est le fils de son père ?)

entreR dans le village

Le monde est gouverné par des cristaux.
- Ouais... Remplace "cristaux" par "lauriers rose" et tu verras qu'il y a relativement peu de chance que ton héros s'écroule pas de rire. Parles-tu des hommes qui gouvernent à l'aide de cristaux ?

Bien joué le coup du journal, ce jeu sur la narration écrite ou non est interessant.

Les dragons ca fait un peu X de Clamp mais bon.

ils brisèrent les 4 cristaux en deux, et lorsque les peuples des dragons de la terre arrivèrent, ils utilisèrent leur pouvoir pour fusionner les morceaux avec 8 morceaux avec les chimères des peuples des dragons de la terre, perdant ainsi leur immortalité, ils furent massacrés
- Cette phrase est incompréhensible.

vous avez rie avec moi lors de mes premiers écrits
- ri (efface le E)

J’avais peur, je le savais, mais comment passer au-dessus, je ne savais pas.
- passer au dessus dela peur c'est bizarre comme expression. La surmonter ?

C’est alors que les tam-tam
- Tam-tam est un mot un peu joyeux pour la scene. Tambour conviendrait mieux.

puis se percha sur l’hôtel qui lui était réservé.
- C'est un AUTEL. Bonjour, je suis madame Chimère, il y a une reservation à mon nom...

Bon, on s'attends trop à ce que ce soit CETTE fille précisément qui soit designée.

- Je regardais de haine le chef, qui je voyais avait du mal à se retenir, voyant le destin de sa fille qui était à présent entre mes mains
Regarder de haine est une expression interessante, mais se suffit à elle même. La phrase est trop longue ensuite. Se retenir (d'aller aux toilettes ? Tu devrais préciser "d'agir", "d'intervenir"). "qui je LE voyais" ya pas mal d'endroit ou il manque des ti mots comme ça.

Le village se retourne un peu vite tout de même. Ces gens devraient être plus inquiets. Le chef peut les convaincre en montrant que pour ce soir la chimère a été chassée.

« Elle date d’il y a très longtemps, mais peut-être t’aidera-t-elle…Adieu mon fils, car je sais que tu ne reviendras pas ici. Eto, aux yeux de feu. »
J’avais presque les larmes aux yeux.
- les larmes aux yeux de feux, ca fait de la fumée. Ouep : faut faire gaffe en apposant des expressions. "Elle date d'y a lontemps" c'est très moche. Elle est vieille de plusieurs siècles par exemple. Mais dans ce cas, elle devrait être toute pourrie (cf Ragnarok tales, c'est peut être le truc que j'ai préféré dans ce jeu).

J'aime bien la manière de parler de ton héros. Il fait bien mec qui sort d la forêt, c'est bien joué.

Sa voix était grave, plus grave encore que celle de l’Ancien, pourtant, je ne sentais rien de mauvais chez cet homme.
- Heu... le rapport ?

Je comprenais de mieux en mieux ce que eux, appelaient l’ennuie. »
- l'ennui sans E.

« Cette lance est magique, elle brille lorsqu’une chimère est proche et de plus, elle est incroyablement solide. J’espère que cela t’aidera. »
- Oué, ca fait un peu trop Dard (l'épee de Frodon) mais bon.

Il déclencha son laser, son rayon me blessa à l’épaule gauche.
- Il y a relativement peu de chance qu'un gars de la forêt connaisse le mot laser, inventé dans les années 60. Tu as toujours utilisé des périphrases marrantes et pas trop lourdes pour designer les objets technologiques, pourquoi t'arrêter ?

comme dévorer par un animaL. (...) se laissa tombé, (...) un crie
- dévoré par un animal. se laissa tomber, un cri. Les scenes d'action sont gachées par les fautes d'orthographe.

je m’enlevais de sa cible
- ca c'est moche. J' m'écartais de sa trajectoire ?



Yep, ce dernier combat est chouette et varié (enfin pour le la fantasy, a la base c'est pas trop mon truc). Tes fautes sont souvent les mêmes, grammaire notamment. Fait gaffe itou à pas utiliser des expressions qui, accolées, peuvent faire marrer. Essaye de relire avec une certaine esthétique du mot : est-ce que celui-là n'est pas trop moche, trop technique ou trop jeu video pour convenir à tel personnage ou tel moment.

Vala, bonne chance. Je lirai certainement pas la suite, mais c'est courageux de prendre la peine d'écrire.

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Thibault de Mondidier - posté le 03/09/2007 à 14:29:52 (14 messages postés)

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alors, je te remercie pour ta longue critique, c'est rare. J'en prendrai note. Je sais, mon point faible, c'est les fautes d'orthographes. Donc, pour les prochains posts, je ferai la chasse aux fautes.

Encore merci, je pense que tu aurais fait une overdose de lecture. Car, j'ai déjà écrit 15 chapitres mais cela me motive de voir des critiques comme celle-là.


Gaetz - posté le 03/09/2007 à 17:18:38 (2377 messages postés)

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...passe...

La scene de la chanson devant le peuple de la terre est vraiment touchante. Comme le style simple de ton personnage.

Si tu veux ecrire un roamn, tu devrais te débarasser de tous ces schemas préconçus du jeu video et du manga - on en trouve trois ou quatre, genre je ramasse de l'équipement comme si il fallait valider ça dans un menu avant de rencontrer la chimère), ou je combats des "monstres" pour m'entraîner (et gagner un niveau). Ca jure avec les sentiments que tu veux rendre.

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Thibault de Mondidier - posté le 05/09/2007 à 11:58:01 (14 messages postés)

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Tu…Tu n’as pas entendu quelque chose ? » me fit-elle avec une certaine inquiétude dans sa voix.
Le silence s’installa. C’est alors que j’entendis des sortes de gémissements provenant des buissons.
« On dirait des gémissements de souffrance ! » me fit Anandes.
Elle se leva, et d’un pas décidé elle se dirigea vers l’origine du bruit.
« ETO ! ! ! VIENS VITE ! ! ! »
Sans me poser de question, je me dirigeai vers elle. Et en regardant par dessus son épaule, je vis une forme à terre. C’était une drôle de créature. Elle avait le visage d’un homme, ses yeux étaient fermés, mais sa chevelure était d’un rouge sang. Ses vêtements étaient recouverts de sang. Une forte odeur se dégageait de lui.

« Eto ! ! Qu’est ce fait de lui ? » me fit Anandes.
« Je m’approchais de lui. L’odeur était difficilement supportable. Je craquais ses vêtements qui étaient déjà dans un sal état, mais ce qui me surpris et que son corps était recouvert d’une fourrure. Très vite, je tombais sur la plais. Le sang continuait de couler. A ce rythme il ne tiendrait pas longtemps.

« Il faut le soigner ! » fis-je.
« Comment, on est en plein désert, au milieu d’une oasis ! » fit Anandes désespérée.
Je réfléchissais, et je le voyais, transpirant et respirant difficilement. Je devais faire quelque chose.
Je fouillais dans ma sacoche. Et je trouvais mes pierres à éclair.

« Anandes, déshabille le, il faut absolument soigner sa blessure ! »
« Vu l’odeur, la plaie à du s’infecter, Eto, même si on referme la plaie, il risque de mourir par infection ! »
Elle avait raison.
C’est alors que je me souvins des paroles de l’Ancien qui m’avait appris que même dans des coins reculé, poussait une mauvaise herbe, l’orchidéatis. Elle avait la capacité de ralentir certaine infection. Au point où on était, je n’avais pas grand chose à perdre. Je fouillais les herbes, quant à mon bonheur, je trouvais la plante. Je la pris, et très vite, je la mâchais pour en faire une bouillie.
Je prie une grande feuille et recracha mon contenue.
Je courais vers notre blessée. Anandes avait réussit à allumer un feu et avait mis une pierre à chauffer.
J’appliquais ma bouillie sur la plaie, la créature remuait. Signe qu’elle était encore un peu consciente.

« Ou as-tu appris les méthodes des guérisons ? » me fit Anandes
« C’est l’Ancien qui m’a transmis son savoir. Anandes, passe moi la pierre. »
Elle prit deux battons et me donna la pierre fumante.
Doucement, j’appliquais la pierre contre la blessure. Une affreuse odeur s’en dégagea. Et la créature poussa un cri qui me glaça le dos.
« J’espère qu’il va s’en sortir ! » fit Anandes
« Il faut le faire boire, sinon, il va perdre l’eau qu’il a dans le corps ! »
« Je m’en occupe ! »
Elle passa son bras sous la nuque de la créature, lui ouvrit la bouche, et lui fit boire.
La créature toussa, mais avala quant même le liquide.
« Et maintenant ? » fit-elle ?
« Il faut attendre que la plante fasse effet. Je pense que nous n’irons pas plus loin aujourd’hui. Fis-je en me levant.
Nous passâmes le jour dans cette « oasis », grâce aux arbres, nous profitions d’une ombre qui finalement était notre salut. Sans cela, l’être de lumière nous aurait très vite dévoré par sa chaleur.
Ce fut quant même une épreuve de construire un abris avec toute cette chaleur. Anandes restait à côté de moi, m’observant. Elle voulait apprendre, elle voulait vraiment connaître ce qu’on pouvait faire avec ce qui nous entourait. Grâce à elle, je parvenais à tromper mon épuisement.
La dame de la nuit arriva. Et avec elle, un froid glacial. C’était une région qui pour moi était folle. Une telle chaleur avec l’être de lumière, et avec l’arrivée de la dame blanche, un froid à vous tuer.

« Je croyais qu’un feu était inutile, mais je suis bien contente d’avoir de quoi me réchauffer maintenant. » fit Anandes en frottant ses mains contre le feu.
Malgré ses paroles, je la voyais grelotter de froid.
« Tiens, prend ma veste. Je vois bien que tu as froid. » fis-je.
Elle s’emmitoufla rendant mon acte par un sourire : « Et toi Eto ? Sans cette veste, tu vas mourir de froid ! »
Je me levais, et cherchais notre blessé. Je le posais près du feu pour le réchauffer. J’étais rassuré, son visage avait perdu toute tension, et à présent il dormait. Mais sans surveillance, le feu risquait de s’éteindre et notre vie avec.
« Ne t’inquiète pas Anandes, je vais rester éveiller toute la nuit. J’en ai l’habitude. Et puis, il faut entretenir le feu, et veiller sur lui. » fis-je très calmement.
Cela faisait un moment qu’Anandes s’était endormie. Quant à moi, je ne cessais de frotter notre compagnons. C’était vraiment une créature surprenante, son corps était complètement recouvert d’une fourrure. Seul sa poitrine et ses mains étaient à nu. Mais, j’étais quant même inquiet. Il avait une certaine musculature, ce qui pouvait sous entendre une certaine force.
Tout à coup, il se réveilla. Ses yeux étaient d’un vert profond, mais ses iris ne ressemblaient en rien au mien. Ils formaient deux traits au milieu de ses yeux.
Il se leva. Me faisant décoller avec facilité. D’un coup, il sortit ses griffes et sauta sur moi. Je le bloquais au dernier moment, ses griffes étaient sur ma peau. Il ne restait pas beaucoup avant qu’il m’achève. Puis, je lui donna un coup là où était sa blessure.
« QUE ! QU’EST CE QUI LUI ARRIVE ! ! ! » fit Anandes réveillée
« T’as qu’à lui demander ! »
Je le regardais. Il semblait étonné, mais restait encore sur ses gardes.
« V…vous parlez ma langue ? » fit la créature.
« Ou s’est toi qui parle la notre » fit Anandes.
« Qui…qui êtes vous…et pourquoi cela sent la chimère ! Ici c’est chez moi ! ! »
« De tout évidence, ses sens sont supérieurs aux notres ! » fit Anandes en me regardant.

Plus je le regardais, et moins j’avais envie de me battre. Je ne sentais pas de haine chez lui. Il était un peu comme un animal, il défend son territoire. Et ce que je prenais pour une envie de tuer, n’était peut-être qu’instinct.
Pour lui prouver ma bonne foi, je baissais ma lance. Mais lui restait sur ses gardes.
« Pourquoi êtes vous ici ? » fit-il.
« Nous voyageons, nous voulons sauver les peuples des chimères ! » fit Anandes.
Les paroles d’Anandes semblaient calmer la créature.
« Vous ? ! ! Débarrasser le monde des chimères ? »
« Oui. Tu sens l’odeur d’une chimère, car tu as devant toi, la réincarnation d’une invokeur, mon amie, Anandes contrôle à présent une partie du cristal du vent, et la chimère Valefore ! »
Mes paroles ne le mirent pas en confiance.
« Pouvez vous me prouver ce que vous dites ? »


Thibault de Mondidier - posté le 07/09/2007 à 12:16:12 (14 messages postés)

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« N’as-tu pas plus de reconnaissance ? » fit Anandes avec un brin de nervosité.
« Qu’est ce que tu veux dire, Femme ? » fit la créature.
« En ce moment, tu te tiens debout, et tu n’as même pas remarqué que ta blessure était entrain de cicatriser ! ! »

Elle commençait à être en colère, je décidais d’intervenir.
« Anandes, cette créature ne fait que réagir normalement. Elle n’a peut-être jamais vu des gens comme nous. Et puis, personnellement, je ne ressens aucune haine de sa part. Alors, nous allons lui montrer que nous ne mentons pas. » fis-je en sortant mon instrument.
Anandes sembla se calmer. Elle ferma les yeux et commença à danser, la chimère apparut. La créature était terrifiée, elle en tremblait. Pourtant, elle resta immobile. Anandes demanda à Valefore de s’envoler dans les aires, Valefore s’exécuta. Elle demanda de détruire un arbre, elle s’exécuta, enfin, elle fit quelque chose de surprenant : Anandes demanda à la chimère de se laisser caresser. La chimère se posa et pour la première fois, je vis un signe de reconnaissance de la part de la chimère.

« Je…je suis impressionné. Je ne pensais pas qu’il existait des gens capable de contrôler les chimères…vous avez des pensées bien différentes de mon peuple ! » fit la créature en s’asseyant.
Nous en fîmes de même.
« Quel est ton nom ? » fis-je.
« Je m’appelle Gotard, fils de Togoom, et vous ? »
« Je me nomme Eto, et elle, Anandes. » fis-je.
« Dis moi Gotard, que fais-tu ici, au milieu de cette oasis ? » demanda Anandes.
« J’ai fui mon village. Je n’en pouvais plus. Notre village se trouve au pied des montagnes. Il y a de cela bien longtemps, notre peuple est venu dans cette contrée chassé par les autres chimères. Ils traversèrent le désert, beaucoup mourirent de soif, les survivants arrivèrent au pied de la montagne. C’est alors que la chimère Titan apparut et leur proposa un marché : En échange de la vie, ils devraient eux et leur descendance livrer chaque année, 10 des plus belles femmes du futur village. Et le pire, c’est que Titan a un charme qui attire les femmes. Selon les dires de mes parents, le village a peu à peu crée un véritable culte pour ce sacrifice. Les filles devaient être intelligentes, belles, et surtout ayant l’expérience de l’acte amoureux. Dès l’âge de 12 ans, les villageois devaient initier les élues pour que Titan soit satisfait et permette la survie du village. Moi, j’ai refusé de toucher aux filles, préférant mourir que salir ses jeunes filles. Le village m’a alors banni et en partant, je me suis fait lapider. Dans ce désert, les chances de survie sont faibles. Mais les coups de pierres avait créer une blessure qui s’est infectée. J’ai pu ramper jusqu’ici… »
Je regardais Anandes, elle était blanche. Et moi, j’éprouvais un profond dégoût. Ce peuple n’était pas si différent de nous. Et pourtant, par servitude, ils se comportaient encore plus lâchement que mon peuple, et s’abaissaient plus bas que les animaux.
« Et maintenant, qu’est ce que tu veux faire ? » demanda Anandes.
« Je…je ne sais pas…JE NE SAIS PLUS ! ! ! Je n’ai plus envie de vivre, mon village me dégoûte, je me dégoûte d’être aussi faible ! » fit-il avec des larmes qui lui coulaient le long des yeux .

Sa détresse m’avait touché, tout son être avait réveillé quelque chose dans mon esprit. Contrairement à moi, lui avait encore un chez soit où un jour, il pourrait y retourner, ce qui n’était plus mon cas.
Je me levais, et me mis à sa hauteur.
« Gotard, n’y a-t-il rien d’heureux que tu te souviennes de ton village ? »
« NON ! ! ! » fit-il catégoriquement, la tête penchée vers le sol.
« En es-tu sur ? » fit Anandes qui comprit ce que je voulais faire ?

Il ne répondit pas tout de suite, puis il recommença à perler.
« Quand…quand j’étais petit, j’avais des amis…on…on bravait les interdits et on venait s’amuser dans cette oasis. Il y avait cette fille…Elmyra qui disait qu’elle était heureuse, que ce coin était très jolie, et qu’un jour, quant elle sera adulte, elle aimerait revenir ici, voir si le coin aurait changé. » fit-il avec une certaine mélancolie.

Il releva la tête et ma grande surprise, il souriait, mais ce sourire disparut avec ce qu’il allait dire.
« Malheureusement, aujourd’hui, elle sera avec les autres la prochaine offrande à Titan. »
Tout à coup Anandes s’approcha de nous.
« Alors ? Qu’est ce qu’on attends pour aller sauver ce village ? ! »
Gotard était complètement étonné par son attitude.
« Oui, allons à Trafalgar ! » fis-je.
« Mais….comment savez vous le nom de mon village ? » fit Gotard avec étonnement.
« Comme tu l’as vu, notre chimère était possédé par le cristal du vent, Trafalgar et ta chimère doit surement contenir l’autre moitié.
« Non, je ne crois pas…je me souviens qu’un jour, Titan a dit « si vous tentez de me désobéir, je déchaînerais les forces de la Terre contre vous. »

Nous étions surpris. Je sortis alors la carte et l’ouvrit.
Je regardais où était Trafalgar. Tout à coup, je me rendis compte qu’un trait continuait à descendre après Trafalgar pour arriver sur un nouveau nom : Omédée.
« Je vois, Trafalgar n’ est pas ce que nous pensions. Mais, s’il y a une chimère ici, cela voudrait dire qu’une réincarnation d’invokeur y vit. » fit Anandes.
« Oui, c’est bien possible. Et puis, nous ne pouvons pas laisser ce village à l’abandon. » fis-je.
« vous pouvez m’expliquer ce qui se passe ? » fit Gotard qui était vraiment perdu.

C’est ainsi que je lui décrivis toute l’histoire.
« Je vois. Mais, toi Eto, qu’est ce que tu es ? A ce que j’ai compris, tu ne semble pas être un « invokeur » contrairement à Anandes ? »
Je ne sais pas. J’ai quitté mon village, et maintenant, je voyage à travers le monde ; Je dois me rendre au Sud, pour tenter de découvrir les origines des chimères. Bon, maintenant, nous devons nous occuper du village. Gotard, est ce que tous les habitants sont pour les chimères ? » fis-je d’un air un peu inquiét » »
« Oui….enfin, il y a moi, et bien sur les jeunes filles dédiés aux sacrifices. » fit-il avec déception.
« Attendez…est-ce qu’elles sont mises à part dans le village ? » demanda Anandes.
« Oui. Elle sont choisis au début de l’année et mis à part dans des casemates » fit Gotard.
« Quant doit commencer le sacrifices ? » demande-t-elle.
« Dans deux jours. » fit Gotard ?
« Les amis je crois que j’ai une idée. Dans le village, nous ne pouvons compter que sur ces filles. Comme elles sont l’objet de culte, elles sont bien traités. Gotard, tu as dit, qu’elles devaient être initier à l’acte amoureux ? » fit Anandes en le regardant.
« Oui. Jusqu’au dernier jour, elles sont exercées. »
« Alors, nous allons prétexter les voir pour les mettre au courant. Ainsi nous pourrons assister également à la cérémonie et les rassurer. »
« Mais comment vas-t-on renter. Si on se fit à Gotard, ils ont des sens bien plus avancés que nous, on sera repérer à l’avance ! » fis-je.
« J’ai trouvé. Gotard, tu as bien dit que le village était pour les chimères ? ! » demanda Anandes.
« Oui. »
« Parfait. Nous allons prétexter que nous sommes des esclaves de la chimère Valefore venus servir Titan. De plus, nous prétexterons que Valefore veut s’allier avec Titan et faire du village, l’armée humaine des chimère. Si les villageois sont avides de pouvoir, une telle proposition devraient les intéressés et oublierons ton retour Gotard. »

Au fur et à mesure de la conversation, je m’apercevais qu’Anandes était un véritable stratège. Son idée était excellante mais, allait-elle réussir ? Gotard me regarda, et je crois que lui aussi faisait confiance à Anandes et à son plan.

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