Kno -
posté le 12/01/2022 à 22:46:15 (4160 messages postés)
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❤ 0
IV L'Empereur
Et les meubles !!!
Je suis venu ici pour corriger des bugs et botter des culs, et chez moi ça marche.
Zam -
posté le 12/01/2022 à 23:25:43 (5512 messages postés)
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❤ 1Kno
AzRa -
posté le 13/01/2022 à 07:01:53 (11206 messages postés)
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Nan mais ça va pas, décapiter un cou ou des cheveux ?
A la rigueur, "décapiter la tête du corps" je veux bien mais certains commenceraient effectivement à crier au pléonasme. Au jour d'aujourd'hui en tout cas les étymologistes de l'origine des mots désapprouvent.
Le cyclisme c'est quand tu fais du vélo.
Kno -
posté le 13/01/2022 à 10:52:18 (4160 messages postés)
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❤ 0
IV L'Empereur
Bah ça va, c'est juste une façon de parler. Pas besoin de décapiter les cheveux en quatre.
Je suis venu ici pour corriger des bugs et botter des culs, et chez moi ça marche.
Nemau -
posté le 13/01/2022 à 15:08:45 (52210 messages postés)
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The Inconstant Gardener
Pour les cheveux on dit "scalper". sriden en sait quelque chose. =>[]
Élise -
posté le 14/01/2022 à 10:33:12 (240 messages postés)
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Kno a dit:
Moi, cette nuit, j'ai rêvé que Zemmour venait vivre avec moi et ma famille dans l'ancien appartement de ma mère pour je sais plus quel raison, une émission télé genre "un candidat à la présidentielle vient habiter chez des gens du peuple" ou une ânerie du genre.
J'ai seulement un souvenir assez flou, je me souviens surtout d'un moment où je retenais mon grand-frère qui essayait d'étrangler Zemmour.
En vrai, ça serait pas si bête comme émission (bon, peut-être si un peu suivant comment c'est tourné), ça pourrait être intéressant...
Nemau a dit:
Ecko voulait peut-être souligner le pléonasme dans la phrase de sriden. ^^
Non... 'Fin si, mais c'est pas Ecko.
Moretto -
posté le 14/01/2022 à 12:26:54 (931 messages postés)
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Ça rappelle Giscard qui s'invitait à dîner chez les gens. ^^
Nemau -
posté le 14/01/2022 à 14:12:42 (52210 messages postés)
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The Inconstant Gardener
Woups, désolé Élise.
C'est la faute à cette neige aussi, on reconnaît plus les avatars ! #mauvaisefoi
Citation:
d'un coup je me demande comment j'arrive à parler depuis le début alors que j'ai même plus de tête
Kno -
posté le 28/01/2022 à 14:23:30 (4160 messages postés)
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IV L'Empereur
Cette nuit j'ai fait un rêve génial.
Il y a toute une première partie dont je ne me souviens pas très bien, mais il me semble que je participais à un grand de Battle Royal dans un village ou une petite ville de campagne. Les décors étaient "réels" (genre j'étais dans un vrai village, pas une map de jeu) mais je savais que je participais à un genre de jeu vidéo ou de GN.
Le seul passage de cette première partie dont je me souviens à peu près c'est quand j'arrive dans une clairière. Il me semble que j'étais avec une équipe de gens, mais je ne me souviens pas bien d'eux, à part qu'il y avait une "garçon manqué" (ça pourrait être Vi, de la série Arcane mais je suis pas sûr, c'est peut-être moi qui ait associé les deux après coup, la seule chose dont je me souviens avec certitude c'est de son tempérament, mais par commodité pour la suite je vais l'appeler Vi).
Je sens qu'il y a un truc planqué dans la clairière, "sous la neige" (alors que la clairière n'était pas enneigée, mais je visualisais le processus de camouflage du bidule, un peu comme un mode d'emploi animé, et ça impliquait bien de s'enterrer sous la neige). Du coup on le déterre, c'est une sorte de capsule en métal aplatie, un peu comme une petite soucoupe volante de 2 mètres de diamètre, recouverte d'une espère de membrane genre latex. Vi lacère la membrane pour faire sortir les gens qui sont cachés à l'intérieur (ils sont compactés par la membrane, mais SOUS la coque d'acier, genre ils sont à l'intérieur de la coque d'acier et quand on déchire la membrane ils peuvent traverser la coque d'acier pour sortir de la capsule). Ce sont des personnages de dessins-animés qui sortent, je me souviens qu'il y avait Mi-chat Mi-chien et Arnold (de la série Hey Arnold !) dans le lot. Ils ne sont pas très contents qu'on ait dévoilé leur planque, mais Vi les envoient paître parce qu'elle avait quelque chose ou quelqu'un d'important à récupérer à l'intérieur (mais je me souviens plus ce que c'est). Ensuite les personnages de dessins-animés retournent dans la capsule et Vi active un mécanisme qui remet une membrane dessus pour qu'elle puisse se camoufler de nouveau. La truffe de Mi-chien reste coincée dans le mécanisme quand il passe, mais Arnold l'aide à se dégager et à retourner dans la capsule. Je remarque qu'il y a déjà plusieurs membranes déchirées et je me dis qu'on a été un peu vache de leur en lacérer une autre, parce que quand ils seront à cours de membrane ils ne pourront plus se camoufler et ils seront dans le pétrin. Ensuite il me semble qu'on quitte la clairière, et mon souvenir s'arrête là.
La deuxième partie, dont je me souviens un peu mieux, commence quand on arrive au portail d'un parc, un gros portail en fer fixé à des grands piliers de pierre, pour affronter le boss. Le boss c'est la Mort (un squelette enveloppé dans une cape noir), sauf que c'est une Mort de dessin-animé choupi, le squelette c'est un petit squelette d'animal mignon. À l'entrée du parc il y a plusieurs petits piédestaux en pierre et le boss se téléporte de l'un à l'autre. Ça m'agace parce que si on est juste à côté du piédestal où il apparaît et qu'on ne s'écarte pas suffisamment vite, il lance une attaque qui nous one-shot, et je trouve ça cheaté. Sinon il envoie aussi des boules de feu ou des trucs du genre.
On esquive ses attaques comme on peut, et au bout d'un moment il dit un truc du genre "Voilà enfin une tête de bœuf", on se retourne et on voit un serpent-squelette géant (qui n'a pas du tout une tête de bœuf) surgir de derrière l'horizon, s'élever dans le ciel et plonger vers nous. On s’écarte, et en atterrissant il détruit juste un des deux piliers du portail (et il s’enfonce dans le sol, mais sans laisser de trou derrière). Je me rend compte que l’autre pilier est déjà détruit et que du coup l’entrée du parc est complètement dégagée. Je me dis que c’est une attaque du boss qui a dû détruire le premier pilier.
Ensuite un train apparaît sur le chemin duquel on est arrivé et fonce vers nous. Je me dis « Cool, si on arrive à l'esquiver et qu’il percute le boss ça va lui infliger plein de dégâts. Du coup on se recule pour laisser passer le train, et le train continue de défiler à l’infini. Puis il y a trois autres trains qui arrivent à côté, et les quatre défilent côte à côté à l’infini. Au bout d’un moment ce ne sont même plus quatre trains séparés car il commence à y avoir des empilements de wagons qui sont à cheval sur les quatre, qui les connectent entre eux et forment des grandes structures surréalistes qui continuent à défiler.
Je finis par réaliser qu’on est dans une piscine municipale couverte, au bord du bassin, et que ce sont des gradins qui défilent à la place des trains, mais toujours en enchevêtrements surréalistes.
Et puis il y a une autre structure qui arrive en sens contraire, en hauteur ce coup-ci, en projetant une ombre sur ce qu'elle recouvre, et va passer au-dessus de nous. Je sens qu’il ne faut pas qu’on se laisse recouvrir pas l’ombre. Un enfant qui est avec nous crie quelque chose du genre, « Si l’ombre nous touche, on est mort. » Du coup on sort du bâtiment en hâte et on court dans les rues, l’ombre à nos trousses. La plupart des enfants qui se trouvent dans la rue sentent le danger et s’enfuient avec nous, mais les adultes ne semblent pas s’inquiéter et se laisser happer par l’ombre. Dans leur ombre leur mouvements ralentissent jusqu’à être parfaitement figés et ils sont entouré d’une aura sombre.
Ensuite je me retrouve subitement dans l’appartement d’un couple. Le mari vient juste de rentrer. Il me semble que c’est une des personnes qui s’est fait happé par l’ombre mais je ne suis pas sûr. Son épouse l’accueille avec leur bébé dans les bras. Ils discutent. Ils savent que l’ombre arrive mais ils sont serein. Je ne me souviens plus du détail de la conversation, mais ils disent des trucs du genre que c’est pas si grave que la fin approche, qu’il faut bien que ça s’arrête un jour, qu’ils s’aiment fort, qu’ils sont contents d’avoir pu être là l’un pour l’autre et partager ces derniers instants ensemble. On voit l’ombre approcher par la fenêtre, précédée d’une lueur orangée, comme un soleil de crépuscule, et l'épouse dit un truc du genre « Chéri, viens voir la lueur de fin du monde ». La lueur inonde l’appartement, puis l’ombre l’envahit.
Et soudainement le mari annonce qu’il doit partir, qu’il n’a plus rien à faire ici, que c’est une perte de temps, et son épouse lui reproche de les abandonner, elle et leur enfant, de les laisser seuls livrés à eux-mêmes. Ils ont un bref échange pendant lequel le ton monte, une aura de plus en plus sombre les enveloppent. A moment donné la tête du mari se met à tourner sur elle-même, pas en pivotant sur l’axe du cou comme dans L’Exorciste, on dirait plus une image de visage qu’on fait pivoter avec un logiciel de traitement d’image (sur l’axe du nez, donc) et elle devient aussi transparent comme si on modifiait l’opacité du calque. Sa tête finit par revenir à la normale et le mari sort de l’appartement.
Là, je me rend compte que je suis aussi présent dans l’appartement (jusque-là j’assistais à la scène de l’extérieur, comme si je regardais un film) et que "j’incarne" une femme (du peu que je me souvienne de mes rêves, ça m’arrive souvent "d’incarner" quelqu’un d’autre, que j’observe de l’extérieur mais tout en considérant que c’est moi, un peu comme si je jouais à un jeu à la troisième personne). L'épouse semble prendre conscience de ma présence aussi et me prend à parti, toujours de plus en plus virulente, en m’accusant d’être responsable de tout ça, d’avoir ruiné son couple, etc.
J’essaie de sortir de l’appartement pour couper cours, mais maintenant que l’appartement est plongé dans l’ombre j’ai du mal à repérer la porte de sortie. Je la cherche désespérément, à tâtons, tandis que la femme se fait de plus en plus menaçante avec son aura noire, des yeux rouges luisants et une voix distordue dans les graves façon possession démoniaque. Je finis par trouver la poignée d’une porte, je l’ouvre et je me retrouve dans la cage d’escalier. Mais là je me dis que ça ne va pas, ce n’est pas logique. J’étais dans la pénombre et j’ai ouvert la première porte que j’ai trouvé. Ce n’est pas possible que ce soit la bonne porte du premier coup, il n’y avait aucune chance que je tombe directement sur la porte qu’avait emprunté le mari pour sortir de cette manière.
Et du coup je me suis réveillé à ce moment-là.
Je suis venu ici pour corriger des bugs et botter des culs, et chez moi ça marche.
Élise -
posté le 07/02/2022 à 22:23:35 (240 messages postés)
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Kno a dit:
Cette nuit j'ai fait un rêve génial.
Il y a toute une première partie dont je ne me souviens pas très bien, mais il me semble que je participais à un grand de Battle Royal dans un village ou une petite ville de campagne. Les décors étaient "réels" (genre j'étais dans un vrai village, pas une map de jeu) mais je savais que je participais à un genre de jeu vidéo ou de GN.
Le seul passage de cette première partie dont je me souviens à peu près c'est quand j'arrive dans une clairière. Il me semble que j'étais avec une équipe de gens, mais je ne me souviens pas bien d'eux, à part qu'il y avait une "garçon manqué" (ça pourrait être Vi, de la série Arcane mais je suis pas sûr, c'est peut-être moi qui ait associé les deux après coup, la seule chose dont je me souviens avec certitude c'est de son tempérament, mais par commodité pour la suite je vais l'appeler Vi).
Je sens qu'il y a un truc planqué dans la clairière, "sous la neige" (alors que la clairière n'était pas enneigée, mais je visualisais le processus de camouflage du bidule, un peu comme un mode d'emploi animé, et ça impliquait bien de s'enterrer sous la neige). Du coup on le déterre, c'est une sorte de capsule en métal aplatie, un peu comme une petite soucoupe volante de 2 mètres de diamètre, recouverte d'une espère de membrane genre latex. Vi lacère la membrane pour faire sortir les gens qui sont cachés à l'intérieur (ils sont compactés par la membrane, mais SOUS la coque d'acier, genre ils sont à l'intérieur de la coque d'acier et quand on déchire la membrane ils peuvent traverser la coque d'acier pour sortir de la capsule). Ce sont des personnages de dessins-animés qui sortent, je me souviens qu'il y avait Mi-chat Mi-chien et Arnold (de la série Hey Arnold !) dans le lot. Ils ne sont pas très contents qu'on ait dévoilé leur planque, mais Vi les envoient paître parce qu'elle avait quelque chose ou quelqu'un d'important à récupérer à l'intérieur (mais je me souviens plus ce que c'est). Ensuite les personnages de dessins-animés retournent dans la capsule et Vi active un mécanisme qui remet une membrane dessus pour qu'elle puisse se camoufler de nouveau. La truffe de Mi-chien reste coincée dans le mécanisme quand il passe, mais Arnold l'aide à se dégager et à retourner dans la capsule. Je remarque qu'il y a déjà plusieurs membranes déchirées et je me dis qu'on a été un peu vache de leur en lacérer une autre, parce que quand ils seront à cours de membrane ils ne pourront plus se camoufler et ils seront dans le pétrin. Ensuite il me semble qu'on quitte la clairière, et mon souvenir s'arrête là.
La deuxième partie, dont je me souviens un peu mieux, commence quand on arrive au portail d'un parc, un gros portail en fer fixé à des grands piliers de pierre, pour affronter le boss. Le boss c'est la Mort (un squelette enveloppé dans une cape noir), sauf que c'est une Mort de dessin-animé choupi, le squelette c'est un petit squelette d'animal mignon. À l'entrée du parc il y a plusieurs petits piédestaux en pierre et le boss se téléporte de l'un à l'autre. Ça m'agace parce que si on est juste à côté du piédestal où il apparaît et qu'on ne s'écarte pas suffisamment vite, il lance une attaque qui nous one-shot, et je trouve ça cheaté. Sinon il envoie aussi des boules de feu ou des trucs du genre.
On esquive ses attaques comme on peut, et au bout d'un moment il dit un truc du genre "Voilà enfin une tête de bœuf", on se retourne et on voit un serpent-squelette géant (qui n'a pas du tout une tête de bœuf) surgir de derrière l'horizon, s'élever dans le ciel et plonger vers nous. On s’écarte, et en atterrissant il détruit juste un des deux piliers du portail (et il s’enfonce dans le sol, mais sans laisser de trou derrière). Je me rend compte que l’autre pilier est déjà détruit et que du coup l’entrée du parc est complètement dégagée. Je me dis que c’est une attaque du boss qui a dû détruire le premier pilier.
Ensuite un train apparaît sur le chemin duquel on est arrivé et fonce vers nous. Je me dis « Cool, si on arrive à l'esquiver et qu’il percute le boss ça va lui infliger plein de dégâts. Du coup on se recule pour laisser passer le train, et le train continue de défiler à l’infini. Puis il y a trois autres trains qui arrivent à côté, et les quatre défilent côte à côté à l’infini. Au bout d’un moment ce ne sont même plus quatre trains séparés car il commence à y avoir des empilements de wagons qui sont à cheval sur les quatre, qui les connectent entre eux et forment des grandes structures surréalistes qui continuent à défiler.
Je finis par réaliser qu’on est dans une piscine municipale couverte, au bord du bassin, et que ce sont des gradins qui défilent à la place des trains, mais toujours en enchevêtrements surréalistes.
Et puis il y a une autre structure qui arrive en sens contraire, en hauteur ce coup-ci, en projetant une ombre sur ce qu'elle recouvre, et va passer au-dessus de nous. Je sens qu’il ne faut pas qu’on se laisse recouvrir pas l’ombre. Un enfant qui est avec nous crie quelque chose du genre, « Si l’ombre nous touche, on est mort. » Du coup on sort du bâtiment en hâte et on court dans les rues, l’ombre à nos trousses. La plupart des enfants qui se trouvent dans la rue sentent le danger et s’enfuient avec nous, mais les adultes ne semblent pas s’inquiéter et se laisser happer par l’ombre. Dans leur ombre leur mouvements ralentissent jusqu’à être parfaitement figés et ils sont entouré d’une aura sombre.
Ensuite je me retrouve subitement dans l’appartement d’un couple. Le mari vient juste de rentrer. Il me semble que c’est une des personnes qui s’est fait happé par l’ombre mais je ne suis pas sûr. Son épouse l’accueille avec leur bébé dans les bras. Ils discutent. Ils savent que l’ombre arrive mais ils sont serein. Je ne me souviens plus du détail de la conversation, mais ils disent des trucs du genre que c’est pas si grave que la fin approche, qu’il faut bien que ça s’arrête un jour, qu’ils s’aiment fort, qu’ils sont contents d’avoir pu être là l’un pour l’autre et partager ces derniers instants ensemble. On voit l’ombre approcher par la fenêtre, précédée d’une lueur orangée, comme un soleil de crépuscule, et l'épouse dit un truc du genre « Chéri, viens voir la lueur de fin du monde ». La lueur inonde l’appartement, puis l’ombre l’envahit.
Et soudainement le mari annonce qu’il doit partir, qu’il n’a plus rien à faire ici, que c’est une perte de temps, et son épouse lui reproche de les abandonner, elle et leur enfant, de les laisser seuls livrés à eux-mêmes. Ils ont un bref échange pendant lequel le ton monte, une aura de plus en plus sombre les enveloppent. A moment donné la tête du mari se met à tourner sur elle-même, pas en pivotant sur l’axe du cou comme dans L’Exorciste, on dirait plus une image de visage qu’on fait pivoter avec un logiciel de traitement d’image (sur l’axe du nez, donc) et elle devient aussi transparent comme si on modifiait l’opacité du calque. Sa tête finit par revenir à la normale et le mari sort de l’appartement.
Là, je me rend compte que je suis aussi présent dans l’appartement (jusque-là j’assistais à la scène de l’extérieur, comme si je regardais un film) et que "j’incarne" une femme (du peu que je me souvienne de mes rêves, ça m’arrive souvent "d’incarner" quelqu’un d’autre, que j’observe de l’extérieur mais tout en considérant que c’est moi, un peu comme si je jouais à un jeu à la troisième personne). L'épouse semble prendre conscience de ma présence aussi et me prend à parti, toujours de plus en plus virulente, en m’accusant d’être responsable de tout ça, d’avoir ruiné son couple, etc.
J’essaie de sortir de l’appartement pour couper cours, mais maintenant que l’appartement est plongé dans l’ombre j’ai du mal à repérer la porte de sortie. Je la cherche désespérément, à tâtons, tandis que la femme se fait de plus en plus menaçante avec son aura noire, des yeux rouges luisants et une voix distordue dans les graves façon possession démoniaque. Je finis par trouver la poignée d’une porte, je l’ouvre et je me retrouve dans la cage d’escalier. Mais là je me dis que ça ne va pas, ce n’est pas logique. J’étais dans la pénombre et j’ai ouvert la première porte que j’ai trouvé. Ce n’est pas possible que ce soit la bonne porte du premier coup, il n’y avait aucune chance que je tombe directement sur la porte qu’avait emprunté le mari pour sortir de cette manière.
Et du coup je me suis réveillé à ce moment-là.
Wouah...
C'est varié comme rêve, au niveau émotions je veux dire !
On passe d'un jeu loufoque à une aventure épique, puis surréaliste, puis étrange et sombre (« Chéri, viens voir la lueur de fin du monde » ) puis glauque ?
Falco -
posté le 08/02/2022 à 14:22:32 (19571 messages postés)
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Indie game Developer
Citation:
Rohlala ce matin je rêve que je fais du shitpost sur oniro ; alors vous allez me dire : ben ouais comme dans la réalité, mamie !
Je pense qu'il faut interpréter ça littéralement et arrêter de poster partout sur Oniro du coup maintenant
Nemau -
posté le 08/02/2022 à 14:26:19 (52210 messages postés)
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The Inconstant Gardener
Citation:
"AO125-B est une étoile de la Bandoulière de Schmultruc, elle est apparue il y a 50millions d'année et contient environ 70% d'hélium et 20% de tritium"
xD
Dans un jeu où même les ombres ne sont pas réalistes ? =>[]
Falco -
posté le 08/02/2022 à 16:42:51 (19571 messages postés)
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❤ 0
Indie game Developer
Citation:
sans conséquence sur le reste des topics ça va encore.
Ca transforme le forum en une immense chatbox/discord et j'ai un coté très conservateur envers les forums (qui a dit vieux con ?) qui fait que, j'avoue, ça me dresse les poils quand je vois des gens venir poster partout pour ne pas dire des choses forcément en rapport avec le topic ou plus que ça intéressant, mais je veux bien reconnaitre que c'est parce que j'ai une aversion pour tout ce qui est chat et cie, parce qu'en soit je t'aime bien aussi tkt :3
ElliotR -
posté le 05/04/2022 à 10:07:07 (2 messages postés)
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Hier soir, j’ai vu 2 rêves différents l’un après l’autre. Et depuis le matin mon état émotionnel est perturbé.
Le premier avait la scène de ma maison, et j’ai vu 2 panthères noires errant de pièce en pièce. Puis je me suis vu remplir 2 grands bols de lait, et les deux panthères sont venues poliment au bol et ont commencé à le boire.
Dans mon rêve suivant, j’étais dans ma table à manger en train de prendre mon repas de l’après-midi.Et soudain, j’ai entendu des sons venant de sous l’évier de la cuisine. Dès que je me suis retourné pour suivre le son mystérieux, un énorme cobra a sauté de leur et s’est tenu droit en me regardant dans les yeux et en sifflant fort. J'avais tellement peur que j'étais capable d'entendre les battements de mon propre cœur et j'ai perdu la capacité de bouger ou de crier un mot.
Selon https://gourou.com/bullshit, les rêves sont souvent liés aux pensées qui nous traversent l'esprit juste avant de nous endormir. Mais je suis sûr que je n'ai pas pensé aux animaux et aux reptiles avant de dormir. Mais ensuite, j'ai lu des croyances intéressantes sur les rêves d'animaux dans https://www.escroc.com/foutaises/dreams-about-animals .
Il dit que les rêves de serpent sont liés à la vie amoureuse, aux peurs cachées et à la transformation émotionnelle. Rêver d'animaux sauvages signifie que je vais bientôt rencontrer des difficultés dans ma vie. Est-ce que cela vaut la peine d'être cru ?
Roi of the Suisse -
posté le 05/04/2022 à 12:12:34 (29803 messages postés)
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Alerte neige !
Les interprétations symboliques des rêves sont généralement bidon. Ton dernier site n'est absolument pas digne de confiance, c'est du chamanisme délirant.
Les rêves peuvent comporter :
- Des sujets qui nous perturbent en ce moment, le rêve cherche alors à résoudre ce problème
- Des peurs, angoisses (tomber dans le vide, être poursuivi, rencontrer un animal dangereux...), le rêve est alors un environnement de simulation pour t'entrainer à répondre à cette situation hypothétique en vue du jour où elle arriverait
- Des sujets qui étaient importants pour le cerveau il y a très longtemps, et qui n'ont pas été activés récemment (personnes qu'on n'a pas croisées depuis 10 ans, etc.), le rêve cherche alors à faire le tri dans nos idées : lesquelles jeter à la poubelle, lesquelles conserver ; ré-étiqueter les importances de ces concepts pour nous
Nemau -
posté le 31/05/2022 à 20:30:22 (52210 messages postés)
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The Inconstant Gardener
Cette nuit j'ai rêvé qu'on était à une sorte d'IRL (ou une réunion du staff sur Skype ?) et que Nonor nous racontait que parfois il jouait à la marelle avec ses élèves. °° (je m'en suis souvenu uniquement parce que je viens d'entendre le mot "marelle" dans une vidéo youtube)
Toujours cette nuit, j'ai également rêvé que j'étais de retour au CP, et que je me rendais bien compte que j'étais beaucoup plus âgé que les autres, et peut-être même plus âgé que l'institutrice. Vers la fin du rêve il était question de faire un exposé sur le sujet de notre choix, et je choisissais de le faire sur Alien (des fois que je pensais être dans le rêve de quelqu'un d'autre mdr).
subotai -
posté le 02/07/2022 à 20:13:38 (536 messages postés)
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Il est Conan, un Cimmérien. Il ne pleurera pas, alors je pleure pour lui.
Il y a un moment j'ai fait ce rêve ;
D'abord le contexte ; j'ai habité dans un village en campagne belge pendant mon enfance et on avait l'ensemble mairie/école/bibliothèque municipale dans à peu près le même bâtiment (en tout cas le même groupe de bâtiments, c'était à peu près relié). La bibliothèque se trouvait au dessus de la cantine, sur au moins deux étages, accessibles par un escalier en spirale. L'escalier était en bois et plutôt vieux, comme le reste du batiment, qui devait avoir max cent ans mais c'est enorme pour un enfant. On allait surtout au premier, et je ne crois pas avoir jamais su ce qui se passait au deuxième étage.
Donc ce rêve ; Je me retrouve aujourd'hui de retour dans ce village et je me dit que je vais aller faire un tour a la bibliothèque parce que c'est plein de bons souvenirs, j'ai découvert plein de livres et de BD sympas là-bas, on s'en fout c'est un rêve.
La dame de la bibliothèque me dit que si je veux, je peux aller au deuxième étage, et je me dis "Oh bah super j'ai jamais été au deuxième étage c'est l'occasion" donc j'y vais. L'escalier est long et je tourne dans le truc, sans avoir l'impression de monter, comme on le fait dans ces rêves là. Au plus je monte, au plus l'escalier se dégrade, et la charpente devient de plus en plus mauvaise, le plafond devient de plus en plus bas et les marches de plus en plus tordues.
ça me fait penser a ces clochers d'églises qui se tordent sur eux-mêmes, je ne sais pas si vous connaissez ce phénomène. Donc le plafond se réduit de plus en plus, et je dois baisser la tête pour avancer, mais j'ai toujours envie de voir ce qui se trouve au deuxième étage, donc je continue. De plus en plus, ça se réduit et j'en suis réduit a ramper dans un escalier (assez claustro comme sensation) de plus en plus restreint. Assez régulièrement je peux sortir du truc, dans ce qui seraient des paliers, mais je sais que je suis pas encore arrivé au deuxième étage, donc je dois replonger dans l'escalier pour avancer. Au bout d'un moment je me rends compte que je ne peut plus monter, parce que je ne passe plus, mais que je ne peux pas non plus faire demi tour parce que je ne passe pas non plus dans l'autre sens.
AzRa -
posté le 03/07/2022 à 12:02:18 (11206 messages postés)
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Peu après avoir quitté mon école secondaire j'ai fait une série de rêves où je visitais aussi des couloirs bizarres qui n'existaient même pas. Et moi aussi dans mes rêves l'école se trouvait largement agrandie par les ajoutes. Par contre c'était pas claustro ni même malaisant ni quoi que ce soit. Et c'était ni des escaliers ni des portes qui existaient et que je n'avais jamais passés. C'était plutôt genre je retourne à mon école, "hé ce couloir était là, avant ?" et puis je commence à visiter un univers énorme de salles et de couloirs.
Chat
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) puis glauque ?
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