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Reprise du message précédent:
arttroy -
posté le 20/10/2012 à 11:02:45 (2394 messages postés)
| Just working | Très sympa bon boulot, les personnages font bizarre au début et plus on avance sur ce que tu as fait, plus ça passe, c'est excellent en fait et j'avoue qu'il y a de sérieux progrès. J'aimerais bien m'en sortir aussi bien que toi en tout cas bon courage pour la suite si il y a une démo je testerai avec plaisir!
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Anti-inconstructivité / Pétition pour que le mot making soit inscrit dans le dictionnaire ? | Suite du sujet:
Maelstorm -
posté le 20/10/2012 à 12:13:03 (3982 messages postés)
| Une chance sur un million | oui il y a une démo, le lien est peut etre mort mais j'ai sorti un petit truc pour le concour de naked snake qui a pas marché ... (désolé de remuer le couteau dans la plaie ^^ ) rien a voir avec le steampunk par contre ...
je te sort le lien de suite
edit : le voila !
Spoiler (cliquez pour afficher)
rien a voir mais j'ai retrouvé les photos de mes armes de GN, faite par moi, a la main, dans mon garage ... les photos datent un peux, la plus grande a été cassée ... donc bon ...
le dortoir
la salle des machines, les pistons sont animés
un petit texte écrit sur la musique de 0², le récit parle d'un personnage que j'ai inventé il y a longtemps eet vu que je suis dans une phase "écriture" je partage ici pour avoir des avis ...
Spoiler (cliquez pour afficher) « Ou suis-je ?
_ La belle au bois dormant daigne ouvrir les yeux ? Enfin ! C’est pas trop tôt …
_ Ma tête va exploser, qu’est-ce que je fais ici ?
_ Bienvenue au centre d’éducation Nillonberg, ici on teste de tout sur n’importe qui, hi hi hi
_ Nillonberg ? Pourquoi ce nom m’est familier ?
_ oh allons un petit effort de mémoire, Nils. Ou plutôt devrais-je dire patient N175 … hé oui tu es une expérience, tu me remets ? Nous nous sommes rencontrés sur le banc d’essais, la grande table de métal froide. Ça ne te dit vraiment rien ? Hi Hi Hi
_ La table ? Oui je me souviens, le froid, la douleur, mais rien avant ça …
_ C’est douloureux, hein ? Et encore, ce n’est que le début. Hi hi hi
_ Que ? Qui es-tu ? Qu’est-ce que tu me veux ?
_ho ho ho je crois bien que le transfert ne t’a pas réussi, laisse-moi te rafraichir la mémoire mon grand. Pour commencer tu peux m’appeler … hum … les gens d’où je viens m’appellent Harmaggedo, nous avons été liés tous les deux par des savants du monde du dessus, les expériences que ces hommes mènent sont véritablement horribles, ils extraient l’âme de leurs patients, l’âme ensuite extraite est mélangée par un procédé que j’ignore avec divers éléments, on incube cette âme artificielle dans un corps tout neuf et on obtient ce que l’on appelle un embrillon.
_ Je … je suis un embrillon ? Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Et qu’est-ce que tu veux de moi ?
_ Pas si vite jeune homme, tu le sauras bien assez tôt, pour l’instant il faut sortir d’ici, et au plus vite, ils vont revenir, ils vont venir vérifier si leur expérience a fonctionné, et elle a fonctionné, allez vite ! Ramasse donc cette épée dans le coin, et tu ferais mieux de ne pas t’en séparer si tu veux survivre, c’est un conseil d’ami, hi hi hi
Sortir, oui mais par où ? La salle était carrée, aucun repère, pas une porte ni une glace et même pas une fenêtre. Juste un morceau de ferraille orné de deux énormes pierres rouges dans un coin, et lui il se tenait à côté. Il était entièrement noir, de la tête au pied, il y avait dans sa façon de me regarder quelque chose de dérangeant, Il avait l’air fou, je me demande ce qu’il entend par « lié ».
Quelque chose gratte dans le mur, Il semble agité, je ferais peut être mieux de me saisir de ce bout de fer, ça a l’air lourd, mais je n’ai pas vraiment le choix, quoi qu’il s’apprête a ce passer je ne retournerais pas sur cette table, le froid, la douleur, je ne veux pas.
A peine ai-je posé ma main sur le fer que mon esprit se vide
« Bien, que le festin commence »
Il avait dit ça, ou alors c’était moi, je ne sais pas, c’est confus. Des cris. Du sang. Des larmes. Ce n’est pas mon sang, se sont mes larmes. La porte est ouverte, je cours, droit devant, des homes essayent de m’arrêter, Il rit, ou bien c’est moi, je ne sais pas. Je sors, l’air frais emplie mes poumons, la lumière m’aveugle, le ciel est gris. Plus rien.
Quand j’ouvre les yeux elle est devant moi, elle me sourit, me tend la main. Je me réveille en sueur. Il est là. Je suis dans un lit, la pièce est petite, les meubles sont étranges, d’une matière que je ne connais pas. Elle est entrée dans la pièce, ses cheveux ont flotté pendant un bref instant puis elle s’est assise à côté du lit, sur un tabouret.
Elle a les yeux marron, un nez fin, des cheveux bruns, fins, ondulés. Je la regarde fixement, comme si je voulais sonder son âme, elle rougit et tourne la tête.
« Vous êtes enfin réveillé ?
_ Je … oui, merci à vous, qui que vous soyez.
_ Je m’appelle Méline.
_ Je … moi c’est Nils, enfin … je crois … c’est ce qu’il m’a dit en tout cas ?
_ J’ai essayé de penser vos blessures comme je le pouvais, vous arrivez à bouger votre bras ? »
Je regarde ma main, elle a l’air brulée, mais je ne sens aucune douleur, il est au-dessus d’elle, il la fixe des yeux, des yeux malsains. Il lui touche les cheveux.
« Vas t’en ! Ne la touche pas !
_ Pardon ? »
Elle se retourne, ne voit rien
« Ne le laissez pas s’approcher de vous !
_ Mais enfin … il n’y a personne, vous allez bien ? C’est sans doute la fièvre, je vais vous chercher de l’eau, ne bougez pas
Elle sort, il me regarde d’un air amusé
« Et oui mon jeune ami, elle ne me voit pas, en fait tu es le seul à me voir, hi hi hi, nous sommes lié tu te rappelles ? Je te l’ai déjà dit !
_ Qu’est-ce que tu veux ?
_ Hi hi hi, la même chose que toi mon petit, la liberté. Tu me retiens attaché à ce corps si faible, si tu meurs, je meurs, telle est la loi de la liaison. Tant que tu seras un embrillon tu es en sécurité, mais dès que tu atteindras la maturité, alors je te détruirais et je prendrais possession de ton corps.
Ho ho ho tu éprouves de la haine ? C’est bien ! Plus tu me détesteras plus l’éveil s’approchera ! »
Il fallait que je m’échappe, me mettre debout, courir, vite et loin. Mes jambes me porte, je franchis la porte, le blanc de la lumière m’aveugle, il est derrière moi, il me suit, il ricane, c’est agaçant, je trouve une autre porte, je l’ouvre. Je tombe au sol, mes jambes ne me portent plus, le noir.
J’émerge à nouveau, elle est encore là. Méline, douce Méline. Elle me parle, mais je ne l’entends pas, ses mots forment une mélodie, s’étirent dans l’inaudible puis me reviennent comme un écho.
Il est toujours là, la tête entre les mains, il me regarde, fixement, il attend. Je ne saurais pas dire pourquoi mais Méline me calme, je n’ai plus peur à côté d’elle. Tout me semble si tranquille.
Je me perds dans la décoration de la salle, comparée à la salle de détention, c’est beaucoup plus grand, des meubles étranges, avec des morceaux d’étoffes rangés dessus. Des cadres au mur avec des gens dessus qui me regardent, ils ne bougent pas. Le sol est fait de cette matière étrange, comme les meubles mais plus lisse, c’est un peu sale à vrai dire. Sur le mur du fond il y a une grande fenêtre, du verre, et quelqu’un dedans, il me regarde, il m’intrigue.
« C’est un miroir, me dit-elle, tu n’en as jamais vu ? »
Je fais non de la tête sans la regarder, l’autre à travers de la vitre bouge en même temps que moi. C’est moi. Je ressemble à ça ? C’est étrange, je ne me souviens même pas de moi-même. Les cheveux longs, blancs, et épais. Le visage anguleux. J’ai l’air si jeune. Est-ce bien moi ?
Je me lève, je m’approche du miroir, je le touche des doigts, Il n’apparait pas dans le reflet, mais dès que je me tourne son sourire me glace le dos. A la fin, qu’est ce qu’il est ?
merci a vous si vous avez le courage de me lire ^^
du neuf ! des animations de personnages et des essais de perso pour le projet "mega mike" !
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