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ebrayana -
posté le 07/11/2013 à 18:34:20 (323 messages postés)
| | Salut à toute la communauté d'Oniromancie, voilà je tiens à présenter mon livre
"Crozus : De A à Y" pour ceux qui ont suivis mon projet, celui-ci a été inspiré par ce que j'écris
en ce moment (Dans le livre il y a le mélange des deux modes donc de l'Aventure de de la découverte) le livre est en pleine écriture sur ordinateur (Sur feuille il est fini) donc je vous
poste mon chapitre "I" en espérant que celui-ci vous plaise !
Résumé :
Elisabeth, jeune fille se retrouvant dans un endroit des plus étranges, là où les phénomènes
commencent et se finissent, par perte de mémoire elle devras la chercher et trouver une issue
de secours et quitter cet endroit le plus vite possible !
Téléchargements : (Microsoft Office Word obligatoire)
Mediafire :
http://www.mediafire.com/download/81vm1rbddbmz8j0/Chapitre+1+Une+amn%C3%A9sie.docx
Et pour les gros flemmards du téléchargements voici le chapitre I :
Chapitre I :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Chapitre 1 : Une Amnésie.
Un écran noir défilait devant mes yeux, serait-ce cela, la mort ?
Serait-ce un écran noir qui défile à l’infini ?
Au loin, je distinguais les chansonnettes des oiseaux.
« Du bruit ? Aurait-t-il du bruit lors du défunt ? »
Non, ce n’est pas l’heure de mon trépas, pas encore en tout cas …
« Mais que m’est t-il arrivée ? »
Quelques instants plus tard, mes yeux s’ouvrirent devant l’hélianthe éclaircissant,
Ma toute première vue fut un nuage, un magnifique nuage à vrai-dire, sa forme tenait celle d’une rose,
Par la suite des évènements je me levai, l’extase gagna mon corps, la joie de se sentir enfin libre,
Comme si mon corps pourrait éventuellement se disperser dans le firmament.
« Mais où suis-je ? Serai-je dans l’éden ? Suis-je seule ?»
Des infinités de questions parvinrent à ma raison, je m’installai dans le cœur du jardin
Que les arbres entouraient, le verger était grand, ravissant, l’herbe créa une lumière qui
Lui reflétait le teint de sa couleur éclatante, soudainement des herbes folles se haussèrent au-dessus
De la végétation, elles me menèrent vers l’extérieur d’une futaie, impossible pour moi d’analyser son
Intérieur, Il faisait beaucoup trop lugubre, soudainement l’herbe folle se glissa vers un mur de pierres
Qui était placé non loin de la forêt, l’herbe folle se glissant vers le mur, puis le grimpant,
Elle me forma une échelle, une torche y était placée, supposant que la plante souhaitait apporter
Son aide je montai sur la plante pour accéder à la torche, sa lumière incandescente
Me fit réchauffer le visage, je redescendis en tombant avec le flambeau, enfin, je suis
Prête à explorer la futaie.
Devant la forêt, s’exposa un petit écriteau en bois, l’écriture était nette et très belle, le panneau se situait sur une pierre qui se dressait à côté de la forêt, ainsi étaient graphies ces lettres :
« Mieux vaut guérir que prévenir. »
Le vent devenait plus frais et plus présent, comme si une tempête s’exclamerait dans ce magnifique endroit, la forêt semblait devenir plus éclaircie et plus calme, c’était le moment pour y pénétrer !
J’entrai ainsi dans la forêt équipée de ma fidèle pourfendeuse de ténèbres, celle-ci ne répandait
Pas énormément sa luminosité, à mon arrière, des lianes se rattachaient, elles formaient
Une grande porte m’empêchant de sortir, des frissons me traversaient le corps, les ténèbres
M’entouraient, la lumière de l’entrée prit fin, ainsi je tentais de chercher un appui tel un aveugle
Cherchant un support sur lequel s’aider, finalement je rencontrai l’écorce d’un arbre, enfin
Je le supposai, il n’était pas très solide, à chaque seconde il se flanchait laissant comme bruit
Des craquements. J’approchai la torche de l’arbre, une écriture fut gravée, les plantes montaient
Autour de l’arbre ne me laissant aucune vue sur l’écriture, cependant je les prenais une à une
Et les jetaient, ainsi je trouvai ces mots :
« La peur n’est qu’illusion, Le courage n’est que certitude. »
La peur, la seule sensation que je n’osais ressentir en ce moment, j’aurai affirmé qu’un phénomène
Essayait de me contacter à tout prix, pour éviter un cataclysme, comme si ma présence était
Ecrite sur le destin de ma vie, et de cet endroit, à ce moment, une voix retentit à mes oreilles
Elle était accompagnée d’un piano, l’intensité de la torche se défaillait peu à peu, cependant
La voix ne devint que plus forte, je lâchai l’arbre pour observer le phénomène, un lac bleu,
Il éclairait un piano sur lequel des feux follets dansaient autour dans le noir, ils virevoltaient
Un peu partout, on aurait dit des sphères de lumière qui volaient, le spectacle était aussi
Magnifique qu’inquiétant, un de ces fantômes se rapprocha de moi, mon cœur battait à toute vitesse
Je le pris, la musique du piano se rompit, les feux follets disparaissaient un à un et le lac cessa de
S’éclairer, je fermais les yeux, une fois ré ouvert, la futaie était calme, une chansonnette des oiseaux
Se fit entendre de loin, des lumières se glissaient entre les arbres, aucune liane n’étaient présente
Derrière moi ni ailleurs, soudain une rafale de vent se fit sentir, il m’était cependant impossible d’
Ouvrir mes yeux et ma bouche d’ailleurs, la brise était fraîche, elle chassa mes sentiments négatifs,
C’est ainsi qu’il se finissait, l’arbre dans lequel je m’étais posée était encore là, mais cette fois ci, son
Écriture fut changée :
« Il viens un temps où un homme doit rejoindre son principe qui est la liberté. »
Après avoir lut ces mots, je me levais, et j’étais prête à découvrir le lien entre mon passé et cet
Endroit, mais d’ailleurs :
« Où était ma torche ? »
Je suivais ainsi le chemin du vent, à un certain temps je perdis le sens de l’orientation,
Je me retrouvais entourée de quatre menhirs, lisses et taillés, ils étaient parallèles deux à deux
Et se dévisageaient, chacun était numérotés, j’approchais vers le premier :
« Sagesse »
Le second par la suite :
« Patience »
Le troisième :
« Avoir »
Et le dernier :
« Rêver »
Cet endroit devrait bien-être habité, mais aucun signe ne le prouva, à part ces quatre grandes pierres
Les herbes folles venaient à moi, par une flèche elle mes montrèrent la direction à prendre,
Elles me menèrent à une lumière, sans doute la sortie de la forêt, je pris cette direction,
Je sortais de la futaie, la luminosité du soleil ne m’afficha qu’un écran blanc, dont une voix
Effrayante me chuchota ceci :
« C’est le dernier jour du reste de ta vie. »
Voilà, bon merci de mettre un commentaire constructif, si vous voulez m'aider à me corriger
voire me donner des conseils, ça serai sympathique de les mettre sous commentaire !
Bonne journée !
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trucbiduleII -
posté le 07/11/2013 à 23:15:28 (815 messages postés)
| | J'ai trouvé que la mise en forme laissait à désirer. L'écriture en prose avec peu d'arrêts, séparée en vers, pourquoi pas, mais j'ai l'impression que tu as coupé un peu au hasard tes phrases. (je me trompe sûrement, mais c'est l'impression que j'ai eue) Sinon, sur l'histoire (je n'ai lu que le chapitre 1), ça ne donne pas vraiment envie de lire la suite ; il n'y a pas d'accroche ou d'attente particulière vis-à-vis de l'héroïne ou de l'univers. Ça fait très œuvre d'art abstraite, en fait.
Pour autant, le vocabulaire employé est plutôt intéressant, et les descriptions sont sympathiques.
Sinon, j'ai relevé quelques coquilles :
Citation: « Du bruit ? Aurait-t-il du bruit lors du défunt ? » |
Je pense que tu voulais dire décès, non ?
Le destin de ma vie, ça fait un peu double-emploi. Mon destin suffirait, je pense.
Citation:
Citation: Après avoir lut ces mots, je me levais |
Citation: chacun était numérotés, j’approchais vers le premier : |
Citation: Cet endroit devrait bien-être |
Citation: par une flèche elle mes montrèrent |
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